III ) Récits divers :

       

 -- de 2013 à fin 2015

 -- puis suite en 2016 

 

 

thèmes abordés :

 

de grandes questions, des interrogations sur les projets de réforme de société, un regard sur le monde, parfois retour sur les événements marquants ...

 

 

avec les 3 personnages particuliers que sont

 

 

 

Jébo du 94, toujours un peu dans le tourment existentiel ...
Jébo du 94, toujours un peu dans le tourment existentiel ...
Jules du Val d' Hermone, grand penseur à ses heures ...
Jules du Val d' Hermone, grand penseur à ses heures ...
André-Jacques du Quartier Floquet-bords de marne, le fameux " deux en un"...
André-Jacques du Quartier Floquet-bords de marne, le fameux " deux en un"...

 

 

PS -- en juin 2014 :

 

voici qu'arrive un 4 è personnage ,

               Léon de Broglie ...

vous allez le voir "carburer" dans le Titre III, le " pêle-mêle" ... avec un texte intitulé : " le 6 juin 2014 j'étais au D-Day "

 

 

                               °°°°°°°°°°

nous vous présentons nos cogitations en 3 parties 

I ) 3 pièges judiciaires 

II ) la justice 

III ) pêle-mêle politique, intérieure et internationale

         

      

 TITRE I  : pris dans 3 pièges judiciaires ...

 

     -- celui du timeshare ,

     --  un second : le prêt à un "ami" ,

     --  et le 3è, la catastrophe d'un "assistant à distance" pour un proche

 

 mais d'abord, juin 2013,

                              REGARD sur notre Justice ...

 

Dans ce nouveau « Récit », je vous propose une réflexion – avec échanges, si possible --, sur ce qui est arrivé à Jébo, à la fin de sa vie professionnelle ( pour une meilleure approche, je me suis permis de découper sa vie en tranches : son enfance en milieu campagne de petite montagne ; sa jeunesse au village ; ses études sup puis sa carrière professionnelle ; et, enfin, ce qui va être sa « fin de vie » , eh oui, n'ayons pas peur des mots ) ...

Donc, dans cette dernière phase de vie, qui démarre en gros au « départ en retraite » à ses 60 ans, en juillet 1996, je retiendrai 3 événements importants, qui l'ont fort accaparé d'une part et qui com-portent ensuite un « message », car touchant à des questions de la vie sociale le plus souvent , lui « expérimentant », selon son expression favorite, des choses nouvelles ! Vous allez me comprendre, car je vais tout de suite entrer dans le vif du sujet, avec un 1er GROS DOSSIER, intitulé :

la JUSTICE de notre Pays fonctionne-t-elle bien ?

( ou – autre manière de poser la question –, est-il exact qu'il n'y aurait plus de justice en France, comme le clament certains? Les choses iraient-elles si mal que ça ? Ou encore : les juges font de grosses erreurs ? )

Mais, cela n'est-il pas exagéré, car la Justice, peut-elle se tromper ? La Justice ou les juges ?

 

On va prendre 3 cas, trois situations qu' a vécues, plus ou moins bien « notre parisien » :

° un piège dans lequel il est tombé – le « timeshare » --, en 95; toujours en suspens en 2013

° un « recouvrement de créance », suite à un prêt d'argent à un compagnon d'action associative, alors en chômage été 96 ; aujourd'hui, encore en litige...

° un « assistanat, en famille et à distance, d'une personne âgée » , en oct.2004, qui dérape en querelle familiale; non encore réglée à ce jour ...

 

 

DONC,

 

A – le piège du timeshare !

 

Cela s'est passé en janvier 1995, quand un magasin de meubles près de chez eux, sa femme et lui, leur a indiqué qu'ils venaient de gagner un beau cadeau lors d'une tombola : une semaine gratuite de vacances à Ténérife ! Invités à passer au magasin « retirer » leur cadeau, ils se sentent obligés d'acheter quelque chose ; un lit à 12 000 fr. fera l'affaire ! Puis, les voilà à l'aéroport de Ténérife où, là, au milieu d'autres « gagnants » tout excités à l'idée de passer un bon moment au soleil dans une île superbe, Jebo s'entend dire à la cantonade : «  oh , pas de précipitation, c'est trop beau pour être vrai, tout ça ; on ne nous a pas fait venir que pour la rigolade » ! qui, effectivement, démarre au mieux : séance d'accueil collectif, apéritif de bienvenue puis hop... répartition en petits groupes, puis chaque couple étant alors installé dans un studio ; avec un « animateur » par groupe qui fera ...le forcing : il n'y a pas mieux que la multipropriété ! Au 2ème jour, « séance de travail », collective, pour recevoir une info générale agrémentée d'une proposition d'achat ( on doit acheter un droit d'occuper un appartement à Ténérife ou dans d'autres endroits en Espagne – l'avantage sera double : ou l'utiliser soi-même, ou l'échanger, partout dans le monde, en utilisant une « bourse d'échanges » avec un organisme anglais appelé «  Interval International » –, et çà pour une ou plusieurs semaines dans l'année à choisir tout de suite ! Le couple Jébo se laisse convaincre immédiatement , mais à une condition : faire un « essai » sur 3 ans d'abord, car étant d' Air France, avec des facilités de voyages énormes ; affaire aussitôt conclue, sans formalisme ( « on va utiliser le formulaire type de nos contrats ; et dans 3 ans, vous verrez, vous souscrirez une réservation définitive, tant vous serez satisfaits... », dixit le moniteur-vendeur ! donc, signatures vite faites, le mono apposant la sienne, « illi-sible » et hop... « champagne » ! du coup, incitation pour les autres, même les plus hésitants ( eh oui, il suffit pour enclencher une bonne « séance de vente » d'attraper un 1er « pigeon » de le faire « signer » avec un maximum de folklore et l'affaire est pliée, les autres vont suivre ! Comme des moutons !

Le séjour va alors se dérouler le plus agréablement du monde : repos, séances de piscine et/ou de gym douce, nombreuses sorties en car pour visiter l'île et, chaque soir, repas suivi d'une soirée de détente ! Tout irait pour le mieux, si certains ne s'étaient pas mis à gamberger ! Un tel avait des informations alarmistes sur pareil système; tel autre venait de téléphoner à un ami en France, lequel le mettait en garde contre ce genre d'offres, alléchantes mais attrape-nigauds ! Et le doute s'installa … En fin de semaine, sur le départ, Jebo suggéra que l'on fasse une liste avec les adresses de ceux qui voudraient rester en contact, pour le cas où … et vous allez voir, cela va bougrement servir !

Peu après leur retour, le couple Jebo va en parler, de cette affaire, au sein de leur association de « Cadres en chômage » – association d'entraide professionnelle bénévole pour ceux qui à l'époque, les années 78, perdaient leur emploi et avaient du mal à en retrouver un – puis, il va mettre en place un « comité de défense de propriétaires de timeshare » car il s'avère que plusieurs membres ont fait pareil achat dans d'autres organismes ! Et un premier article de presse vient de paraître fort percutant ! Le couple Jebo se décide alors pour le test de ce système et, comme il bénéficie à Air France de billets d'avion à prix réduit réservés aux membres du personnel de la compagnie, les voilà utilisant « la bourse d'échanges », « en route » pour des destinations « de rêve » : Bali, Hawaï, Afrique du Sud, Nouvelle Calédonie, Nlle-orléans et même... mais là, une curieuse « blagounette » va leur être faite; il venait de réserver « une semaine » au Chili, mourant d'envie d'aller découvrir Valparaiso, chez un certain Pinochet, à la Serena ! Quand, à un mois de leur départ, le Général Pinochet, président du Chili, se fait arrêter à Londres lors d'un déplacement qu'il croyait sans risques pour lui, malgré une condamnation pour le coup d' Etat qu'il avait dirigé dans un passé relativement récent ! Questionné aussitôt par le couple, le service d'informa-tion du ministères des Affaires Étrangères déconseilla de partir car risques de représailles sur place à l'encontre des Européens de passage ! Donc, fin du voyage et, pour le couple, « fin de partie » ! car entre temps s'était constituée, une « association de défense des propriétaires », à partir des listes de participants, rédigées sur place en fin du séjour – le petit comité de cadres impulsé par le couple Jebo décidant d'en faire partie – et alors un procès fut intenté aux organisateurs de cette vente si étrange, lancée à grande échelle par une organisation appelée « le Lagon Vert – club CSV » !

Jebo, de son côté, tenta de faire valoir auprès de l'organisme anglais garant du bon fonctionnement du système, son droit de récupération de leur apport au terme des 3 ans ! Hélas, refus ; et on leur proposa en retour de « reven-dre » directement leur « semaine » et c'est ainsi que démarra pour le couple une nouvelle phase : négociation-har-cèlement par des « acheteurs », se présentant comme de simples particuliers et s'avérant être de vrais « pros de la revente » ; une fois engagées les discussions achoppaient très vite, l'acheteur mis au pied du mur par Jebo –d'avoir à mettre sous séquestre la somme acceptée pour la transaction chez son notaire de Paris, détenant les documents du contrat – voulant néanmoins un envoi d'argent pour « les premiers frais »! Vigilance du couple Jebo ... ce ne fut pas le choix, hélas, de beaucoup d'autres propriétaires, qui se virent « piéger » en envoyant des chèques et … ne récupérant rien ensuite !

Et qu'advint-il du « procès » ? moment fort, mais plus de bruit que de résultat : car les demandeurs furent déboutés et relaxés, les dirigeants poursuivis dont certains en prison préventive ! Ensuite : recours devant la Cour d'appel de Paris qui confirme le jugement de première instance; puis pourvoi en cassation, qui par contre « casse » et renvoie devant la Cour d'appel de Versailles, laquelle donne raison aux demandeurs, en condamnant les organi-sateurs à indemnisation ! Hélas guère possible, tous étant « en fuite dans les  paradis fiscaux » ! le couple Jebo décida alors de saisir le ministre de la Justice, qui ordonna une enquête puis il en appela au président de la Répub-lique qui envisageait à cette époque une action au plan international contre les abus de ces « paradis fiscaux » ! Jebo et son épouse cessèrent alors de payer leurs « charges annuelles » pour leur semaine, qu'ils n'utilisèrent plus ! Ayant, de plus, tenté une revente avec un acquéreur Autrichien, en passant par le canal d'un organisme madrilène de revente; mais, celle-ci fut été stoppée brusquement par l'organisme, quand Jebo lui réclama d' envoyer préalab-lement le montant au notaire de Paris, pour mise sous séquestre dans l'attente de la fin de transaction avec remise des originaux du contrat initial d'achat et des justificatifs des règlements de charges annuelles; le couple déposa peu après une plainte auprès du parquet de Créteil, qui resta sans suite, hélas et…il peut dire « adieu » à ses70 000 fr, « placés » si imprudemment pour 3 ans auprès d'un organisme dit « de vacances à temps partagé » ou times-hare, qui s'avéra en fait être une vraie bande d'escrocs !

Bravo, bravo, bravo ….

 

annexes : les principales pièces de cette affaire , en illustration ( la réservation d'une semaine à CSV -Ténérife; la réclamation ensuite de jébo,; la constitution d'un comité de défense; puis la procédure au sein d'une association rassemblant la grande partie des bernés : Tribunal correctionnel, cour d'appel, cour de cassation, retour Cour d'appel et condamnation finale des délinquants ...)

 

 A 1 -- notre achat d'une "semaine"

 

avec un "garant"
l'organisation qui nous avait contactés

A 2 -- notre demande de fin de "contrat" ( non écrit, hélas, mais il avait bien été convenu de ne pas poursuivre après 3 ans !)

hélas malgré notre accord de nous restituer notre dépôt après 3 ans, refus et on nous oriente vers des "revendeurs"
hélas malgré notre accord de nous restituer notre dépôt après 3 ans, refus et on nous oriente vers des "revendeurs"

A 3 -- mise en route d'une défense organisée avec des soutiens

 

 

 

un comité de défense, d'abord

des articles comme celui-ci jetant la consternation chez ceux qui s'étaient "fait avoir"
des articles comme celui-ci jetant la consternation chez ceux qui s'étaient "fait avoir"

avec appui sur une campagne d'info

nous nous sommes sentis obligés d'écrire au Pt de la République

A 4 -- et, alors, là on mit le doigt dans un autre engrenage : "la revente" avec des "revendeurs"( soi-disant ) nous faisant des offres alléchantes en demandant d'abord d'envoyer une somme d'argent et les documents de base ; bien entendu, ceux qui ont cédé se sont retouvés ensuite avec leur argent "empoché" et rien à la clé !!! nous, nous avons alors "organisé" notre système : dépôt de nos documents chez un notaire, celui-ci avant d'envoyer à ces offreurs de rachat le moindre document , réclamant le prix offert avec proposition de mettre l'argent sous séquestre ! bien entendu, aucun de ces "revendeurs" ne poursuivaient alors !!!

le "garant" de son côté se déclarant "impuissant "
le "garant" de son côté se déclarant "impuissant "

A 5 -- donc, il ne restait plus que la voie judiciaire , au pénal !

 

avec 2 directions :

° participer à une grande opération lancée par l'association des propriétaires APAF-VTP

 

° déposer une plainte contre les "revendeurs" , "arnaqueurs" ....

 

et le dernier en date est un organime de madrid qui après nous avoir trouvé un acheteur, fait signer de part et d'autre un engagement a "rompu" la cession dès l'instant où le notaire n' a pas "bougé" tant que la somme ne lui était pas &dressée d'abord ! et une plainte fut alors déposée qui n'a pas eu de suite ( pas pour l'instant du moins !) Résultat : nous sommes toujours propriétaires de notre "semaine", que nous n'utilisons plus! et nous ne payons plus les charges annuelles !

puis une troisième  ! en cours
puis une troisième ! en cours

 

 

 

 

B – le piège du «  prêt à un ami »

 

nous sommes en mai 96, Jebo est heureux, car il s'apprête à partir en retraite en Val d'Hermone dans le Chablais -- 74 ; bien qu'il ait passé la main à son compagnon JCP dans sa tâche de coordination de l'association des Cadres en chômage ( et je vous précise qu'il le faisait bénévolement, ce travail ; aux heures du déjeuner, chaque lundi, animant les réunions de travail de recherches collectives d' emplois ou d'opportunités pour des groupes successifs d'entraide au reclassement, appelés GIER-Cadres IDF), donc bien qu'il soit en retrait, il passe voir le groupe et participe, en fin de séance de travail, au déjeuner du groupe au restaurant du ministère, comme il le fit si longtemps ! Et, là, lui « tombe dessus », un des participants, JG, agité, qui se présente à lui comme ayant un besoin urgent d'argent – 60 000 fr – pour rebondir sur une opportunité de « conseiller en PME » avec nécessité d'acheter du matériel informatique ; affirmant alors qu'il ne peut obtenir de prêt, les banques refusant de prêter à un « D E--longue durée » ! Alors ? Jebo, toujours prêt à jouer « les sympas », l'em-mène aussitôt à la GMF toute proche, où la conseillère accepte l'idée d'un prêt personnel mais pas aux 2 noms « Jebo + JG » : -- Ok, leur dit-elle, donc, pour vous prêter la somme, mais à Jebo seul,à charge pour lui de la répercuter ensuite à son compagnon d'activité associative par un contrat entre les deux ". Pour prendre date, Jebo a fait faire, dans la foulée, un petit « gribouillis » en guise de « reconnaissance de dette », par JG qui lui remet ensuite une lettre plus conséquente; puis il obtient par un collaborateur de la GMF une simulation sur un prêt de 60 000 fr sur 4 ans..., aux mêmes conditions que celles de l'opération en préparation ; ( Jebo nous dira plus tard qu'il  entend bien « sa petite voix » lui susurrer : « attention, prudence, c'est pas une grosse somme, ce prêt, mais tout de même, tu ne le connais pas vraiment ce JG »! mieux, mis au courant, JCP le coordinateur qui a succédé à Jebo dans l'animation des rencontres hebdos, le met en garde :« fais gaffe, il ne semble pas fiable » ! mais non, tout va bien ! El voilà l'affaire lancée : JG va régler à Jebo ses mensualité, comme convenu : 1540 fr/mois …, « bien » jusqu'à fin mars 97, soit 10 mensualité de « remboursé » et là … hélas pour Jebo, JG « disparait », coupant tout contact et cessant de rembourser ! Donc Jebo, à qui on ne la fait pas, voit en juillet un huissier et fait établir une requête pour le règlement de 3 mensualités non payées ! JG ne « bouge » pas et impossible de le faire « saisir » , car il est déjà entre les mains du Fisc, à qui il ne payait plus ses impôts depuis déjà pas mal de temps! Mais, ça, il s'était bien gardé d'en parler à ce pauvre Jebo-le-naîf ! donc, il ne lui reste plus qu'à se lancer dans la procédure (« au pénal », dès novembre 97, et «  au civil », dès septembre 98, au tribunal d'instance du Xvè ; là, la juge ne voit pas très bien comment faire pour condamner JG au remboursement total d'une somme qui est en cours de règlement par mensualités comportant en partie la restitution du capital et en partie les intérêts du prêt accordé par la GMF l; la présidente trouve alors l'astuce : couper le dossier en 2 – on traite d'abord le remboursement de la somme avancée à JG puis, en fin d'amortissement de l'emprunt, il faudra, lui dit la juge, revenir me voir pour une requête concernant le total des intérêts réglés à la GMF pour le compte de JG ! Et la voilà qui rend son jugement, donc sur la partie I de la créance de Jebo ; JG va alors saisir une Commission de surendettement, celle du XVè, avec une fiche comportant de faux renseignements ! Et il ne reste plus à Jebo qu'à faire un recours au juge du JEX, puis, comme la décision rendue n'est pas satisfaisante pour lui, de saisir la «  Cour d'appel-surendettement », qui condamne JG à payer le solde de la somme que lui a prêtée JB et fixe les mensualités de remboursement à 500 fr ; mais, comme d'habitude, JG ne réagit pas et Jebo est obligé de le signaler au secrétariat de la Commission de surendettement qui suspend alors la protection qui lui avait été accordée, à ce surendetté !

Qu'à cela ne tienne, il est trop rusé, cet homme! Le voilà qui s'inscrit à une seconde Commission, celle du XXè, en donnant une adresse « bidon » dans ce quartier de Paris ( ce que réussira à découvrir Jebo, bien évidemment, par enquête personnelle, aidé toutefois par des membres de l'association des Cadres, certains ayant été « approchés » eux aussi par JG pour lui prêter de l'argent, comme pour Jebo ! bien entendu, JG présente une fiche, et là encore avec de faux renseignements ! Et le voilà bénéficiant d'un nouveau plan de surendettement protecteur !

Mais Jebo, « embarqué », comme il l'est,  ne peut plus revenir en arrière, ; il lui faut aller au bout de sa découverte des manoeuvres malveillantes à son encontre ! Le voilà qu'il saisit, en fin d'amortissement de l'emprunt GMF, en juillet 2001, le tribunal du XVè pour faire condamner son débiteur à lui rembourser les intérêts payés à la GMF ( le montant de la requête est limité au « seuil » de 25 000 fr ); gain de cause obtenu , Il va alors se rendre à Courbevoie, là où habite le couple de JG et dépose une nouvelle requête pour le paiement du solde des intérêts de l'emprunt ( soit, sur un total de 32 459, 40 fr, déduction faite des 25 000 obtenus au TI du Xvè: 7459,40 ) ! Là, encore gain de cause, mais signification des jugements impossible, le couple étant à nouveau « caché » dans un autre endroit, que Jébo va retrouver, bien entendu ! (dans le XVè, relogé par la mairie ) ! mieux, poursuivant ses investigations, il va découvrir que le couple a hérité de l'appartement qu'il occupait gracieusement à Courbevoie et qu'il vient de revendre ; d'où, évidemment, relance de sa plainte, car cette opé n'a pas été déclarée, ni au Fisc, ni à la Commission de surendettement ! Il sera alors auditionné au commissariat, suite à demande d'enquête du parquet ! Jébo est entendu, lui aussi ! Mais, la plainte sera classée, faute de « qualification pénale suffisante » ! Retour « au civil », rapidement : après l'obtention du nouveau plan, JG n'est plus «  poursuivable »; d'où, recours de Jebo auprès du JEX, qui, après un cafouillage, le contraint à faire appel ! Encore ? Mais oui, et toujours devant la « Cour-surendettement », qui va, elle aussi, le débouter de sa demande de réparation au titre de la « mauvais foi » de JG ( pourtant évidente selon lui), tout en reconnaissant que la procédure doit être refaite; mais le secrétariat qui a déjà établi un «  plan » ignore la décision et ne la refait pas, la procédure ! Et l'épouse de JG paye alors les échéances mensuelles retenues pour le plan « sorti » par le secrétariat, mais sur lequel n'a pas été mentionné le total des intérêts dus, payés par Jébo à la GMF, et dont les TI du XVè et de Courbevoie ont reconnu la réalité!  puis on entre à nouveau dans le « folklore » : Jébo va voir le Conciliateur de Justice ; une 1ère fois, le professionnel ne pouvant rien faire, JG ayant refusé de se présenter devant lui; une seconde tentative amènera le « pro » à l' « envoyer  bouler », car ça l'énerve ! Donc, Jébo va à nouveau saisir un juge, pour la saisie des salaires du couple à hauteur de la somme réclamée au titre des intérêts GMF ! Çà va, vous arrivez à suivre ? pas facile, mais on y arrive! En tout cas avec un pareil cheminement, il y a de quoi devenir cinglé ! Et vous voyez, c'est tout Jebo, ça, il fait de la « mousse », à n'en plus finir ; nous sommes en avril 2008, soit 11 ans après le début du dossier en avril 97 ! et au TI du XXè, qui voit-il arriver, Jebo tout excité ? Mais un JG, tout guilleret, accompagné d'une jeune femme qui, dans le couloir, se présente à Jébo comme « avocate »; par contre, à la juge, elle précise qu'elle représente l'épouse de JG et qu'elle a oublié le pouvoir chez elle ! Jébo sent l'embrouille, mais n'ose pas intervenir car – il en est sûr –, s'il se lâche, il va « hurler » ; bref, cette « avocate », qui ne l'est pas, qui n'a pas de pouvoir..., eh bien elle embrouille la juge qui gobe tout ; Jébo ne s'enflamme pas outre mesure car il a déposé une note suffisamment explicite ! Il faut croire qu'elle ne l'est pas car, au jugement, il est débouté !!! il demande une explication par lettre à la juge, qui lui répond qu'elle ne se souvient plus du nom de cette dame soi-disant avocate, qui de plus n'a pas ramené le pouvoir qu'elle était censée avoir de l'épouse de JG, qu'elle était censée aussi représenter ! Ciel, que c'est entortillé tout ça ! Mais il doit être « heureux », notre Jebo car, là, de la « mousse », il en fait à revendre ! Et ce n'est pas fini, car il va revenir au XVè devant la juridiction de proximité, demandant une indemnisation à une juge qui l'écoute bien ; mais qui semble ébranlée par l'avocate de JG-- une vraie, cette fois-ci, et une drôle de teigneuse qui se « lâche » en parlant d'escroquerie à la procédure de la part de Jébo, et la juge de lui faire une remontrance –, mais Jébo sera encore débouté ; pire, il est condamnée à une amende ! JB fait alors intervenir l'huissier pour une saisie sur salaire ! Mais « blocage » par la Commission de surendettement, malgré la décision de la Cour d'appel qui lui a demandé de refaire sa procédure après l'arrêt rendu, ce qu'elle n'a pas fait ! Et cette fois, c'est l'avocate de JG qui envoie par huissier une convocation devant le JEX – une jeune femme, pas très « à l'écoute » de Jébo, du moins lui a-t-il semblé–, qui va le condamner aux dépens, à 1500e pour « l'article 700 » avec, enfin, 183,60 e aux époux JG ; refusant à Jébo sa demande reconventionnelle en réparation de préjudice ! au terme d'une audience très animée, comme vous pouvez l'imaginer, l'avocate traitant Jébo d' « escroc de la procédure » et lui réclamant 10 000 e de dommages-intérêts, 500 e pour préjudice moral, 2000 e pour « l'article 700 » ! comme l'on dit, en pareil cas, « ça, il faut le faire »!

et Jébo, qui a fini par prendre un avocat et faire appel …. le 25-7-2012 ! et l'affaire sera examinée le 30 – 1-- 13 ! à suivre donc, si vous désirez connaître la fin

PS:

et JG vit « heureux » pendant ce temps dans un beau logement près de la place Balard dans le XVè !

 

Pièces jointes : diverses fiches – avec les noms « cachés » par précaution – concernant le prêt et ses modalités, l'association pour cadres en chômage, la reconnaissance de dette signée par le compagnon de Jébo, les jugements le condamnant à payer, l'assignation par huissier, la décision finale du Jex et la confirmation par la cour d'appel, la plainte pour abus de confiance classée puis nouvelle plainte pour dénonciation calomnieuse …

 

 

mais si André-jacques, notre rédacteur de blog du val de marne pouvait nous faire des montages explicatifs, ce serait bien !

entre nous, y'a qu'à le lui demander ! 

aussitôt dit, aussitôt fait ...

 

 

Bonjour, c'est à moi André-jacques dit L'Ajac, pauvre rédacteur de blog qu'il appartient de faire le commentateur juridique pour Jébo ! Son récit, dont on vient de prendre connaissance : bien , mais quelle affaire et guère amusant à lire !

 

Comment faudrait-il que je fasse ! que j'y mette de la rigolade, comme il me l'a demandé, ce sacré Jébo !

 

Il est drôle , lui, qui fait dans le «  tourment existentiel » , selon son expression favorite : il tente même de se jeter sous le métro, titillé qu'il se dit de sauter dans la marne du haut de notre Pont du Petit parc !

 

Tu parles d'un fada ! Et, aujourd'hui, alors qu'il se « drogue,  à l' alprazolam » ( pas de panique, c'est un antidéprime), eh bien il nous dit que cette sinistre affaire, ce n'est que de la rigolade ! Une «  blagounette »,  que lui aurait faite, JG, un bon camarade de lutte contre le chômage des Cadres dans les années 94-95 !

alors, efforçons-nous donc de rire ! Ou mieux de voir comment il s'en est sorti du long et difficile chemin de la

Justice de base ! Dont il nous confie : tous sympas ! les secrétariats – dit greffes : bien ! Les juges : bien! Les procédures à suivre : bien et moins difficiles qu'un parcours en marches à pied d'une seule traite du Puy à Santiago en Galice, en 33 jours ! Ce qu'a fait notre Jébo, en mai 2007 , pour ses 71 ans ! Donc …

en route pour le chemin de piste ou ...le « chemin de croix » plutôt !!!

tout commence dans cette association que lui, Jébo, a lancée fin 78 et dont il coordonne les réunions de traque d'emplois et /ou de missions, en groupes successifs ! Se réunissant au ministère des Affaires Sociales, avec déjeuner ensemble, à 13h. , au restaurant de l'établissement !

Attention : ma présentation de ses fiches de travail pour attester du cheminemnt de son affaire : pas terrible comme présentation; vous m'en excuserez

 

 

le mouvement associatif pour Cadres en chômage créé par Jebo dans les années 78

- donc, au seion de cette association, JG fait pression sur JB pour qu'il lui obtienne cet emprunt à la GMF:

rappel: JG fait emprunter par jébo 100 000 frs et , compte tenu de son endettement d'ex-chômeur qu'il est, lui laissant 40 000frs pour solder un de ses emprunts immo et ne gardant que 60 000 frs, qu'il jure devoir lui rembourser sur 4 ans ! hélas !!!

 

- JG ne rembourse plus après les 10 premières mensualités et c'est la procédure de recouvrement qui démarre !

 

avec dépôt d'une plainte en passant ...
avec dépôt d'une plainte en passant ...
pendant que je rembourse le crédit mon débiteur se prélasse ...
pendant que je rembourse le crédit mon débiteur se prélasse ...
et mon zigoto se cache dans un appartement à Courbevoie !
et mon zigoto se cache dans un appartement à Courbevoie !
mais il se réfugie alors auprès d'une Commission de surendettement qui me fait "interdire de le poursuivre" ...
mais il se réfugie alors auprès d'une Commission de surendettement qui me fait "interdire de le poursuivre" ...
 et voilà ma plainte classée ...
et voilà ma plainte classée ...

OUF ! en voilà toute une histoire !

donc récapitulons : topute l'action, ses étapes par lesquelles il m'a fallu passer pour OBTENIR LA VERITE et ...mon remboursement !

 

 

 les étapes de la procédure ( civile et pénale ) à laquelle m'a contraint JG

 

                        abréviations utilisées :   jg  ,  jb  ,  abst  

 

en 1997: juillet,  requête pour I.P. 3 mensualités non réglées ; ord. le 1 sept.

 

le 15 déc., passage de l'huissier au domicile pour saisie des meubles ; impossible, jg étant déjà saisi

 

le 30 déc., entretien chez le conciliateur du Xvè ; jg abst

 

en 1998: le 5 janv., audience pour saisie sur salaires,  jg abst  ; jugt, le 19 janv. Jg abst

 

le 16 mars,  entretien chez le conciliateur,  jg abst

 

le 2- avril, requête au greffe du TI pour recouvrement de ma créance ( 48 mens. de 1560 fr = 74 88O fr ; déduire: les 10 mensualités reglées -15600 fr et l' I.P.  pour 3 mens. - 4680 fr ; soit un total de  : 54600 fr )

 

le 16 déc., audience,  jg abst ( pour facilitation, la juge me propose de scinder l'affaire en 2 parties ; d'abord la restitution du capital avancé à jg ; puis,  en fin d'amortissement de l'emprunt, requête à nouveau pour la prise en charge par jg des frais et intérêts de l'emprunt  ( voir ma lettre de relance du greffe pour retrouver trace de cette approche faite par  la juge ) 

 

en 1999 : jugt du TI, le 24 février ; jg abst , condamné

 

le 7 juin, lettre de la Comm.  Paris-Raspail m'informant de sa saisie par jg

 

en 2000: le 15 févr., recommandations  de la Comm. ; mon recours pour faire prendre en compte l'intégralité de l'emprunt GMF ;

 

le 28 fevr.,  audience,  jg abst  ; le 18 mai , jug fixant des mens. de 500 fr , jg abst ; refus de la Trésorerie du 15 è prioritaire, d'où ,le 6 juin, mon appel partiel

 

le 6 déc., envoi d'un  R+AR à jg ( pour les mens  500 fr )

 

 en 2001: le 28 mars, audience de la Cour, jg abst ; le 30 mai, arrêt confirmant les mens de 500 fr, jg abst

 

le 5 juin, fin de l'amortissement de l'emprunt GMF ; comme convenu avec la Pte du Ti à l'audience du 16-12-98, le 16 juillet, je dépose  ma demande de prise en charge par jg des frais et intérêts de l'emprunt  soit 32 459,40 fr

 

le 25 juillet,  passage chez le conciliateur, jg abst

 

en 2002 :le 8 janv., audience TI pour les 32459,40 fr ( ramené au seuil de 25 000e) jg abst; jugement, le 12 mai, Jg abst et condamné

 

le 8 janv., dépôt d'une demande pour  les mens de 500 e non réglées ; audience, jg abst ; jugement, le 9avril , jg abst et condamné

 

le 13 déc. ,lettre de la Comm Paris-Raspail : accord pr reprise de poursuites en raison du comportement de jg

 

le 23 déc., nlle ordon. du Jex m'interdisant les poursuites ( nlle Comm de surendettement saisie par jg ) : d'où  retrait de ma demande déposée au TI du 15 è ( pour la prise en charge des frais de l'emprunt ) 

 

en 2003 : le 2 janv., recours c/ l'ordon. et ma réclamation remise au secrét. de la Commission quant à l'insuf-fisance de ma créance ( qui ne retient que le volet I,  sans le volet II )

 

le 27 février, audience, jg abst ; le juge ne saisit pas mon argumentaire et me le dit ; ma réclamation aussitôt à la Commission ; le 13 mars, jug , jg abst ; moi débouté sur ma réclamation pour « mauvaise foi » et le plan de la Comm. validé

 

mais nlle audience, le 22 mai pour  « erreur matérielle », jg abst ( le juge découvre qu'il a été trompé par jg et le secr de la Comm ; il m'indique qu'il ne peut se déjuger et me conseille l'appel , que m'aide à rédiger le 23 sa greffière audiencière )

 

le 9 juillet, convocation  du greffe de la Cour pour le 29 oct

 

le 29 oct., audience , jg abst ( difficile de me faire entendre et regret de ne pas avoir d'avocat : on m'en fait le grief ) ; le 26 nov., arrêt, jg abst ; moi, débouté sur la « mauvaise foi » ; mais le plan de la Comm., non validé ; or, poursuivant sa manoeuvre, jg a demandé au secrét. de la Comm.  de poursuivre,  malgré l'appel en cours ; et le secrét.  présente un plan signé le 2 sept; sans mon volet II de ma créance

 

le 1 déc., dépôt au greffe du Jex de ma réclamation suite à l'arrêt de la Cour …                                                            (---- nb :   le 22 mai ( suite de ma requête pour la prise en charge pr jg  des frais de  l'emprunt GMF), c/ Mme           

 

G  dont j'ai retrouvé par enquête son domicile à Courbevoie dans l'app. de sa mère, décédée  )  passage devant le  conciliateur ,  jg abst ; empêché, j'y suis représenté par Mme B  ; audience  le 4 mars 2003 , jg et son épouse  absts ; jugement,  le 4 oct.,  jg et son épouse absts )                                                                                                    

       en 2004 : les 26, 27 janv. enquête pour découvrir le nouveau domicile des G :  rue du Col. Pierre Avia ,Paris 15 è ; le 16 mars, entretien au bur. des Hypothèques de Nanterre ( reçu explications sur l'app. de Courbevoie et son occupation par le couple; les 30 mars et 12 mai, réponse de la Pte  du Jex, me renvoyant au terme du moratoire de 2 ans pour revoir ma réclamation ;                                                                                      le 14 mai, entretien au comm. de Nogent , qui m'oriente vers le Pôle Financier de Paris ; le 2 juin, dépôt de ma plainte                                                                                                                                                                          en 2008 : le 26 janv., entretien chez le conciliateur, jg abst ; le 15 févr., equête déposée au TI du Xvè pour saisie sur salaire ( volet II de ma créance); renvoi sur le TI du Xxè ; le 14 avril, audience ( pour la 1ère fois depuis le début, jg s'est enfin déplacé ; mais il est accompagné par une dame qui se présente à moi comme « avocate » et qui ne l'est pas ) ; le 12 mai, nouveau passage chez le conciliateur au P.A.D. du Xvè, jg abst ; le 18 juin, entretien à nouveau , avec l'avocat-conseil qui estime que je dois faire saisir JG;le 1er déc., interruption de la saisie par « ordre de la BDF »                                                                                                                                                                en  2009 :                                                                                                                                                                  les 5 et 6 oct., mon audition au comm. de Nogent par l'OPJ désigné ; le 1er déc., rapport envoyé au parquet ; classement le 31 mars suivant                                                                                                                                   

 en  2010  :                                                                                                                                                                 le 2 mars, lettre R+AR au couple avec une proposition pour accord ; revenue avec mention : « inconnu » ; repassé chez le gardien déposer le pli ; le 1 mai , dépôt au greffe de la Juridiction de proximité de ma demande d'indemnisation suite au classement du parquet ;  le 20 mai, nouveau R+AR pour information avant l'audience ; manoeuvre de jg qui fait renvoyer l'affaire  au 8 février suivant

 

en  2011 :                                                                                                                                                                    le 14 févr., envoi d'une note à jg avec une série de questions pour clarifier notre confrontation;

 

le 8 févr., audience très difficile ; injure de l'avocate me traitant d' « escroc de la procédure » ;

 

le 9 févr., entretien avec le secrét. de la Comm; puis passage chez l'huissier pour relance de la saisie ;

 

le 26 avril, jugement me déboutant + indemnité de 300 e ; dossier de réclamation déposée au greffe et à la Comm.

 

le 8 juin, lancement par l'huissier de la saisie après accord obtenu de la Comm.;

 

le 24 sept. reçu une lettre de l'avocate de jg ( recours présenté au Jex)

 

en  2012 :                                                                                                                                                                                                     le 12 janv., audience au Jex, difficile ( car toujours les mêmes déclarations erronées de la part de jg )  ; le 13 janv. repassé à la GMF pour avoir confirmation du bien fondé de ma réclamation sur le volet II de ma créance;   le 15 févr., dépôt d'un dossier complémentaire à l'avocate de jg ;

 

le 1er mars , jugement du Jex me déboutant + indemnité de 1500 e : le 6 mars, déposé un appel ; et pris un avocat ( cab de Me Sch ) ; repassé au greffe du TI du Xvè pour tenter de retrouver aux archives trace du choix opérationnel retenu par la juge à l'audience du 16-12-98; les 14 mars et 24 juillet, préparation de mon dossier d'appel au cabinet de Me Sch ( avec Me Wag, puis Me Jau)

 

 

 

et en 2013 :                                                                                                                                                             le 25 avril, arrêt de la Cour me déboutant et confirmant le jugement du Jex; et ce, malgré les fausses déclarations de mon adversaire ) ; un exemplaire de l'arrêt remis à l'huissier du XIVè ; et

 

 

 

°  le 1er mai, rédaction d'une plainte c/ J G ;

 

 ° le 2 mai, remise d'un dossier au cabinet de Me Sch pour revoir la question juridique de fond posée à la Cour ( le juge Jex avait-il le droit de modifier les 2 jugements de TI,  obtenus pour faire prendre en charge par J G le volet II de ma créance, à savoir les 32 459,40 fr en fin d'amortissement de l'emprunt GMF le 5 juin 2001 ? jugements obtenus dans la clarté, JG et son épouse, caution pour l'emprunt étant absents à chaque fois ; puis se répandant en fausses déclarations aux juges ; des saisies au TI du Xxè, puis au Juge de proximité du Xvè, et enfin au juge du Jex )   

 

 

 

° le 1er mai, dépôt de plainte pour mensonges, manoeuvres et dénonciation calomnieuse

 

 

 

 

 

avec des moments forts comme ce passage à la commission de surendettement de paris-bastille avec pour cela un Jg déclarant un faux domicile dans le 20 è et me faisant interdire de le poursuivre par le Jex!  À qui il soumet un plan de surendettement n'intégrant qu'une partie de ma créance !et ce sans tenir compte des 2 jugements obtenus aux 2 TI du 15è et de Courbevoie , contre lui et son épouse ! J'aurais beau protester , je ne serai pas écouté par les juges : une première fois, puis une seconde ! Et encore après ma saisie lancée par huissier contre le couple recours par eux au Jex qui va alors me condamner à leur payer 1500 e ! et comme je fais appel , re-belotte condamné pa r la Cour à leur payer une seconde fois 1500 e

 

comme aurait dit ma grand-mère, dans l'ancien temps chablaisien : "c'est pas Dieu possible" !

mais revoyons ce plan de surendettement obtenu par JG qu'il présente comme le seul vrai , l'unique , à respecter à tout prix !

 

 

 d'abord je vous montre

le plan adopté par le Jex malgré ma réclamation

 

 attention ...celui-ci c'est le plan qu'a adopté le juge du Jex , par mégarde , induit qu'il était en erreur par JG ! ah ce mécréant, qui se moque ainsi des juges ... car le plan qu'il va faire signer ,lui, avec la complicité de la gestionnaire de la Com.
attention ...celui-ci c'est le plan qu'a adopté le juge du Jex , par mégarde , induit qu'il était en erreur par JG ! ah ce mécréant, qui se moque ainsi des juges ... car le plan qu'il va faire signer ,lui, avec la complicité de la gestionnaire de la Com.

eh bien, le voici ce plan signé alors que JG et moi sommes en procédure d'appel devant la Cour d' appel-surendettement ! ce plan, il le fait " signer" le 2 sept. et la Cour ne rendra son arrêt qu'en nov. suivant, disant qu'il est  nécessaire de le refaire ! ce que la gestionnaire de la Comm. ne voudra pas entendre, évidemment, convaincue par JG que je suis un "voyou" !!!

allez, on le regarde , et notez qu'il a été adopté en :

voyez: c'est le même plan qu'en début d'année et le volet II de ma créance, eh bien il manque toujours !

et comme j'ai fait un recours devant la Cour d'appel-surendettement, voilà que la Pte infirme cette procédure présentée au Jex en début 2003 par JG et la gestionnaire de la commission !

 

 

 

vous constatez avec moi : l'arrêt est net ! la décision du jex qui validait et la procédure et le plan en début 2àà" est infirmée !!! et alors ? normalement on doit recommencer ...
vous constatez avec moi : l'arrêt est net ! la décision du jex qui validait et la procédure et le plan en début 2àà" est infirmée !!! et alors ? normalement on doit recommencer ...

 

 

 

Et alors ? Plus rien je me heurte à un mur ! Partout où je vais passer, je serais copieusement calomnié par JG ! même son avocate qui par 2 fois à la barre me traitera de' escroc de la procédure » !

 

d'où ma relance de plainte au parquet et nous voilà en audition tous les deux par une OPJ !

 

Et là il se surpasse, le JG : tout en mensonges et calomnie à mon encontre !

 

 

 

Les «  manœuvres malveillantes » de JG avec « mauvaise foi » caractérisée ( au sens de la jurisprudence sur le surendettement )  le 11-11-13

 

 

 

 

 

prologue :

 

j'ai consulté des avocats sur ma possibilité de revenir sur les jugements intervenus, malgré « l'autorité de la chose jugée » ; pour cela, je m'appuie sur la jurisprudence récente de la Cour de cassation ( ayant par ailleurs alimenté une plainte déposée contre toi en 97 et relancée sans cesse à chaque rebondissement )  ; donc, je peux revenir sur  « les mo-tifs » des jugements,  n'en contestant pas « les dispositifs »

 

     ( voir note de Me Martin sur ce point  crucial pour pour moi ; jointe en annexe 1 )

 

 

 

 

 

°  les déclarations I  de Jg  chez l'OPJ du commissariat de Nogent :

 

 

 

-PV du 24/9/O9  p.2 :  «  .. je ne me rappelle plus comment il a obtenu l'argent qu'il m'a prêté …; je remboursais aux environs de 1500 fr par mois et ça comprenait les intérêts ... »

 

-PV du 9/10, p 1 : «  ...si j'ai emprunté de nouveau de l'argent, c'est Mr bouvier qui me l'a proposé...; au moment où j'ai pris l'argent à MrB je n'avais presque pas de dettes... »

 

 

 

                               en fait, le réalisé :

 

/  vers la fin mai 96, contacts pressants, au  sein de l' Assoc pour Cadres en chômage,  de JG pour que j'aille lui emprunter de l'argent à la GMF                  annexe 2

 

/ le 28 mai,notre passage à deux à la GMF du 7è (entrt.avec Mme Goncalvés)

 

/ le 30 mai, lettre enthousiaste de JG ( me donnant du « cher Jérôme »)

 

   et offre de prêt par la GMF

 

/ le 3 juin, lettre de la GMF m'accordant le crédit

 

/ le 14 juin , signature par Jg et sa femme  d'une reconnaissance d'emprunt

 

/ le 19 juin le tableau d'amortissement

 

 

 

° les déclarations II de JG chez l' OPJ:

 

-PV du 24/O9, p 2 ; « ...je remboursais aux environs de 1500 f par mois et ça comprenait les intérêts... », « ...je lui emprunte 9000 e je lui en paye presque 14 000et il en réclame encore... » ;  p 3 : « ...à ce jour, nous avons réglé intégralement notre dette à Mr B , je ne comprends pas ce qu »il veut ... »

 

-PV du 9/10, p 3 :  ( sur la condamn. De Fse G à me payer une partie des frais et intérêts de l'emprunt GMF ) « ...cette somme était incluse dans ce que nous avons payé..je ne comprends pas d'où vient cette somme ... »

 

-PV du 19/10, p 2 : Mr B réclame auprès des différents juges la prise en compte de taux d'intérêt; il n'avait pas le droit de demander à chaque fois davantage de dommages-intérêts ; il n'y avait  qu'un seul à Mr B , tous les intérêts ont été pris en compte par les différents jugements ... » .

 

 

 

                       en fait, le réalisé :

 

/ rappel : nous avons bien emprunté à deux, lui et moi, à la GMF; mais j'étais déjà pas mal endetté, ex-chômeur moi-même, et mon niveau de dette était à 48% de mon nouveau salaire plutôt modeste pris pour sortir du chômage ); alors Jg m'a suggéré de prendre un complément de crédit de 40 000 fr pour solder un prêt immobllier – BNP encore 2 ans àet 40 000 f à solder – prenant à sa charge le complément de frais !

 

/ ils me signent donc sa femme et lui, une reconnassance de dette le 14 juin    à savoir

 

 

 

 

 

48 mens. x 1560 f == 74 880 f  ou

            11 415,45 e                soit :

 

 

60 000 F en restitution de la somme avancée + 14 880f au titre des frais-intérêts de l'emprunt dont le total en fin d'amortissement, le 5/06/01  sera de :   32 459,4O f ou 6098 e

 

 

 

 

 

/ or, après 10 mensualités remboursées, il stoppe ! Et sa femme va me régler en 11 ans (!) 7919,79 e

/ donc, le couple me doit : ( 60 000 f + 32 459, 40 f) 92 459, 40 f  ou          14 095,43 e

 et il ne m'aura réglé que ( 15 600 f + 51 950,42 f)  67 550,42 f   ou           10 298,01 e

 

                                                      donc, il manque encore  : 3797,42 e 

+ mes frais de recouvrement

+ un intérêt de retard sur les sommes dues ( les 2 volets de ma créance : celui du remboursement de la somme de 60 000 f avancée à JG en juin 96 ; les frais -inté-rêts du du crédit GMF

+ des dommages-intérêts pour préjudices subis , santé surtout

le tout estimé à 9000 e

                                ---------------

 

Et alors ? Plus rien je me heurte à un mur ! Partout où je vais passer, je serais copieusement calomnié par JG ! même son avocate qui par 2 fois à la barre me traitera de' escroc de la procédure » !

d'où ma relance de plainte au parquet et nous voilà en audition tous les deux par une OPJ !

Et là il se surpasse, le JG : tout en mensonges et calomnie à mon encontre !

 

Les «  manœuvres malveillantes » de JG avec « mauvaise foi » caractérisée ( au sens de la jurisprudence sur le surendettement )  le 11-11-13

 

prologue :

 

j'ai consulté des avocats sur ma possibilité de revenir sur les jugements intervenus, malgré « l'autorité de la chose jugée » ; pour cela, je m'appuie sur la jurisprudence récente de la Cour de cassation ( ayant par ailleurs alimenté une plainte déposée contre toi en 97 et relancée sans cesse à chaque rebondissement )  ; donc, je peux revenir sur  « les mo-tifs » des jugements,  n'en contestant pas « les dispositifs »

  ( voir note de Me Martin sur ce point  crucial pour pour moi ; jointe en annexe 1 )

 

 

°  les déclarations I  de Jg  chez l'OPJ du commissariat de Nogent :

 

-PV du 24/9/O9  p.2 :  «  .. je ne me rappelle plus comment il a obtenu l'argent qu'il m'a prêté …; je remboursais aux environs de 1500 fr par mois et ça comprenait les intérêts ... »

 

-PV du 9/10, p 1 : «  ...si j'ai emprunté de nouveau de l'argent, c'est Mr bouvier qui me l'a proposé...; au moment où j'ai pris l'argent à MrB je n'avais presque pas de dettes... »

       en fait, le réalisé :

 

/  vers la fin mai 96, contacts pressants, au  sein de l' Assoc pour Cadres en chômage,  de JG pour que j'aille lui emprunter de l'argent à la GMF                  annexe 2

 

/ le 28 mai,notre passage à deux à la GMF du 7è (entrt.avec Mme Goncalvés)

 

/ le 30 mai, lettre enthousiaste de JG ( me donnant du « cher Jérôme »)

 et offre de prêt par la GMF

 

/ le 3 juin, lettre de la GMF m'accordant le crédit

 

/ le 14 juin , signature par Jg et sa femme  d'une reconnaissance d'emprunt

 

/ le 19 juin le tableau d'amortissement

 

 ° les déclarations II de JG chez l' OPJ:

-PV du 24/O9, p 2 ; « ...je remboursais aux environs de 1500 f par mois et ça comprenait les intérêts... », « ...je lui emprunte 9000 e je lui en paye presque 14 000et il en réclame encore... » ;  p 3 : « ...à ce jour, nous avons réglé intégralement notre dette à Mr B , je ne comprends pas ce qu »il veut ... »

 

-PV du 9/10, p 3 :  ( sur la condamn. De Fse G à me payer une partie des frais et intérêts de l'emprunt GMF ) « ...cette somme était incluse dans ce que nous avons payé..je ne comprends pas d'où vient cette somme ... »

 

-PV du 19/10, p 2 : Mr B réclame auprès des différents juges la prise en compte de taux d'intérêt; il n'avait pas le droit de demander à chaque fois davantage de dommages-intérêts ; il n'y avait  qu'un seul à Mr B , tous les intérêts ont été pris en compte par les différents jugements ... » .

   en fait, le réalisé :

 

/ rappel : nous avons bien emprunté à deux, lui et moi, à la GMF; mais j'étais déjà pas mal endetté, ex-chômeur moi-même, et mon niveau de dette était à 48% de mon nouveau salaire plutôt modeste pris pour sortir du chômage ); alors Jg m'a suggéré de prendre un complément de crédit de

40 000 fr pour solder un prêt immobllier – BNP encore 2 ans àet 40 000 f à solder – prenant à sa charge le complément de frais !

 

/ ils me signent donc sa femme et lui, une reconnassance de dette le 14 juin    à savoir :

48 mens. x 1560 f == 74 880 f  ou

            11 415,45 e                soit :

 

 

60 000 F en restitution de la somme avancée + 14 880f au titre des frais-intérêts de l'emprunt dont le total en fin d'amortissement, le 5/06/01  sera de :   32 459,4O f ou 6098 e

/ or, après 10 mensualités remboursées, il stoppe ! Et sa femme va me régler en 11 ans (!) 7919,79 e

/ donc, le couple me doit : ( 60 000 f + 32 459, 40 f) 92 459, 40 f  ou          14 095,43 e

 et il ne m'aura réglé que ( 15 600 f + 51 950,42 f)  67 550,42 f   ou           10 298,01 e

 

                                                      donc, il manque encore  : 3797,42 e 

+ mes frais de recouvrement

+ un intérêt de retard sur les sommes dues ( les 2 volets de ma créance : celui du remboursement de la somme de 60 000 f avancée à JG en juin 96 ; les frais -inté-rêts du du crédit GMF

+ des dommages-intérêts pour préjudices subis , santé surtout

le tout estimé à 9000 e

                                ---------------

 voilà ! l'embrouille est bien là ! et comment en sortir ?

 

 

mais ça, c'est une vieille histoire ! aujopurd'hui il en va différemment ! fort heureusement car le nombre des "surendettés" a explosé et attention de bien suivre les conseils pour

 

PRETER A UN AMI !!

d'où la nécessité de faire gaffe ! et les pauvres naïfs comme moi n'auront ensuite quà se lamenter , s'il leur arrive d'oublier les précautions élémentaires !!!

 

 

 eh bien, voilà une bonne démonstration , qu'en pensez-vous ?

et c'est loin d'être fini ! d'où RDV au prochain N° ...pour connaître la suite !

le titre pourrait être :

"comment jébo va se sortir du piège tendu par un surendetté malveillant à son encontre ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C – l'affaire de l'assistanat à distance, pour une tante en province, âgée de 90 ans et seule

 

en début 2004, Jebo est sollicité pour s'occuper d'une tante qu'il affectionne beaucoup et qui vieillit, seule, en maison de retraite, dans le Chablais, pas très loin de Genève ! Dans cette province si accueillante pour les touristes ( été , hiver ) , il n'est pas rare de rencontrer des personnes vieillissant abandonnées ; à leur mort, elles sont incinérées et les cendres, dispersées dans un endroit réservé aux « sans-famille » du cimetière de la ville-capitale !

Donc, Jebo ne pouvant se faire à l'idée qu'il pourrait en être de même pour sa chère tante, va alors s'organiser pour l'aider à distance depuis Joinville où il réside ; il se déplace en Val d'hermone en début d'été 2004 et, avec les 8 autres neveux et nièces, sur place, il prépare une sorte de «  contrat d'assistanat familial » qu'il fait signer par tous; avec 2 coordinateurs désignés: en quelque sorte un par sous-groupes de neveux-nièces, car la tante avait un frère ( 4 garçons, 1 fille) et une soeur ( 4 filles) ; nous avions donc : Jebo, référent-gestionnaire ( désigné « comme un tuteur » ) + 1 mari d'une des nièces ( appelé « correspondant de proximité ») ; une copie du contrat est remise ensuite au greffe du tribunal avec quelques indications écrites pour la juge « d'instance et des tutelles » ; il note l'absence d'objection de la magistrate à la décision des neveux-nièces de « rester en famille pour s'occuper de la tante » ; Jebo s'entretient avec sa tante plusieurs fois, lui rendant visite à sa maison de retraite où rapidement il se fait connaître ( et il informe le service médical, qui ignore tout d' elle , ses nièces qui étaient censées avoir soin d'elle n'ayant pas cru devoir donner à l'infirmière-chef des précisions sur la personnalité de leur tante : fonctionnaire civile des Armées, en retraite de l'Hôpital militaire Desgenettes de Lyon ) ; il note ses désirs pour sa fin de vie, le plus simplement possible et la fait émarger en face de chaque point retenu :  sépulture avec incinération, puis dépôt de l'urne sur la tombe de sa chère maman, jamais oubliée au cimetière de sa commune d'origine ; et, sur son « épargne résiduelle », préparation d'un cadeau en argent pour chacun(e) des neveux et nièces ; Jebo devant signer les chèques du CCP avec la procuration à son nom établie également avec la tante et validée aussitôt par la Poste . Bien entendu, tout le monde est super-informé des opérations menées « tambour battant » par un Jebo qui ne peut pas trop s'attarder et qui fait des allers retours onéreux Paris - Chablais : le service médical de la résidence de retraite, les frères et soeur , les cousines par le canal du mari 2ème coordinateur et même la juge, du moins pour la partie « donation » ; car là , Jebo ne s'est pas contenté de faire un simple chèque-cadeau à chacun, chacune, des partenaires du contrat d'assistance familiale, il va saisir l'occasion du lancement, par le ministre de l' Economie, d'un système de « donations exonérées de tout prélèvement », destiné à capter l'épargne dormante ; au téléphone, donc, Jebo explique à la juge ce que les 2 coordinateurs ont mis sur pied

 

( en liaison étroite avec le responsable de la Caisse d'épargne locale, détentrice de 2 comptes de la tante: 1 Livet A bien rémunéré et 1 Livret B moins avantageux, utilisé pour alimenter le compte CCP, afin de régler les dépenses de la tante, sa pension et ses frais personnels)

 

une vraie donation -partage avec une somme « résiduelle », obtenue par une prévision, des dépenses à venir de la tante, sur 6 mois seulement vu les informations alarmistes du service médical en raison d'une forte bronchite d'été ; la somme devant être prise sur le Livet B, étant entendu que le Livret A était réservé pour la succession ; la juge ne trouve rien à redire et souhaite juste avoir une note explicative ; il est vrai aussi que Jebo se rend au Cabinet du ministre, à « Bercy », demandant par écrit s'il pouvait utiliser ce dispositif pour une tante seule mais avec des neveux et nièces ; « pas de problème, lui répond-on, mais voyez avec votre CDI local »; ce qui fut fait aussitôt, le service « donations » lui remettant alors les imprimés à remplir par chaque bénéficiaire pour obtenir l'exonération …. de retour chez lui, Jebo apprend alors avec stupéfaction qu'une des nièces et son mari contestent toute l'action organisée avec comme seuls motifs : « action illégale, dépouillement de la tante et manoeuvre pour annuler un testament existant » ) ; refusant, de plus, de se  rencontrer,  tous, en une sorte de conseil de famille, pour faire le point et s'expliquer ! Ce mari va alors rendre visite : 1) au médecin généraliste proche de la résidence de retraite , obtenant de lui une ordonnance attestant la perte des facultés mentales, avec nécessité de mise en tutelle judiciaire immédiate ; 2) à la juge, qu'il induit en erreur, calomniant Jebo ; la magistrate suspendant aussitôt la donation en cours d'exécution et, un mois plus tard, sans respecter la procédure spéciale pourtant requise en la matière, mettant la tante en tutelle judiciaire, nommant de plus « administrateur légal » le mari contestataire, ce qui suspendit aussitôt la tâche de Jébo comme gestionnaire-référent !

4 mois après, la tante décède...le 9 avril 2005

( en début de novembre, Jebo était repassé à la maison de retraite, pour dire au revoir à sa chère tante – lui, sachant bien que c'était un adieu, indiquant à l'infirmière-chef qu' en son absence pendant l'hiver c'était le mari de la plus jeune des nièces qui le remplaçait; elle, par contre, tentant de le  rassurer en lui confiant que la tante allait beaucoup mieux, heureuse qu'elle se disait d'avoir retrouvé un fils). Informée par Jebo au téléphone, la juge lui indique alors la marche à suivre pour obtenir le retour des cendres – dont elle accepte qu'elles soient bloquées au funérarium – au cimetière du village d'origine, sur la tombe de sa mère : saisir le TI par voie d'huissier ! Ce qui sera fait après d' ultimes tentatives de rencontre et /ou de conciliation puis, à l'audience du tribunal, le 25 octobre 2005, Jebo se déplaça pour venir en renfort de sa sœur qui présentait la demande au nom de ses frères ; il conteste alors les documents qu'il découvre dans les Conclusions déposées par l'avocate de l'administrateur légal, à savoir un testament et une note pour la sépulture, les 2 soi-disant de la tante, mais Jebo attirant l'attention de la juge sur le doute sur le manque de sérieux de ces étranges documents provoque le doute ! Elle lui répond alors que c'est du ressort du juge pénal et renvoie l'affaire au 6 décembre 2005, afin de lui permettre de « répondre à la partie adverse » ; ce qui sera fait immédiatement par note manuscrite; hélas, non seulement mal admise par l'avocate adverse, mais moquée par ses adversaires ! Et le 6 décembre en l'absence, et de l'administrateur légal, et de son avocate, Jebo dépose la demande écrite de son groupe familial et passe aussitôt après en gendarmerie y amorcer une plainte contre ses 2 cousins – « l'administrateur légal » et « le correspondant de proximité » -- ( adversaires qu'il vient de se faire, à sa plus grande surprise et avec une énorme déception, car il prenait ces 2 cousins par alliance comme ses seuls vrais amis dans la région ) ; le gendarme lui précisant qu'il établissait un rapport et qu'il prévenait lui-même la juge, ce qu'il ne fera pas semble-t-il ! et, surprenant, 1 mois après, la juge rendant son jugement sans tenir compte de la plainte amorcée, déboutant les demandeurs et ordonnant, avec l'exécution provisoire, la dispersion des cendres, conformément aux mentions figurant sur les documents reçus, présentés au tribunal comme provenant bien de la tante ! (plus tard Jébo obtiendra 2 expertises d'écritures : établissant que ce sont des faux ! malheur et honte !)

Jebo venait alors de s'engager sur une nouvelle voie, délicate ô combien, par deux actions : l'une « au civil » et la seconde « au pénal », sachant que devait s'appliquer la règle judiciaire « le pénal prime sur le civil » ! le groupe des déboutés décida alors de ne pas faire appel et Jebo se lança, seul, mais avec le soutien de ses 3 frères et de sa sœur, dans une plainte auprès du procureur puis, celle-ci classée – malgré dépôt d'une note obtenue d'une expert graphologue de Paris –, une démarche auprès du « Doyen des juges » pour : soit obtenir les originaux des documents douteux afin de les faire expertiser, soit de réaliser directement une expertise d'écritures ! Refus de la magistrate, doutant de l'efficacité de l'opération, Jebo renonçant alors au dépôt d'un plainte avec constitution de partie civile contre X, pour faux et usage de faux ( il reprit alors son dépôt de garantie de 8OO e ) ; mais, ne renonçant pas, il profita de l'incidence de la réorganisation des parquets lancée par le ministre de la Justice, insistant alors auprès du ( nouveau ) procureur, qui lui répondit par un avis nuancé : il y a bien eu infraction, mais non punissable au pénal, le délai légal étant dépassé; par contre, recours au civil possible !

Jebo s'engagera alors dans une demande de réparation auprès de la « Juridiction de proximité »; mais cela se passera très mal ! Sans entrer dans le détail vraiment trop long : il fit plusieurs tentatives successives, se désistant dans l'attente des résultats d'expertises ( deux experts sollicités et réglés par lui seul, l'un à Besançon, l'autre à Grenoble ); et devant l'attitude de ses adversaires, l'ayant déstabilisé au plan santé et en raison aussi de la souffrance ressentie chez sa cousine, affectionnée bien que devenue adversaire intransigeante, il se désista au final de sa demande de réparation financière ; mais, alors, la juge de proximité le condamna à une amende de 8OO e pour «  procédure abusive, caractère de vindicte, esprit de jalousie et désinvolture envers les juges » !

Jebo obtint peu après une nouvelle décision du parquet suite à sa plainte contre la nièce adversaire , dont il venait de vérifier le rôle actif dans le pilotage de la manœuvre de contestation de l'action qu'il avait assurée pour leur tante ! Le passage chez le notaire se faisant suite à un lettre l'y autorisant reçue du procureur ; un avocat étant par ailleurs désigné par le bâtonnier sur présentation de l'imprimé accompagnant l'avis du parquet, rempli et signé par Jebo qui fit alors un recours contre la décision de classement ( au motif que, le délai légal étant dépassé, l'infraction ne pouvait être punissable au pénal ); il justifia son recours par l'interrogation du juge sur la possibilité de reconsidérer le point de départ du délai : non au moment des faits, mais à la découverte chez le notaire du rôle actif de cette nièce pour bénéficier, elle et 2 autres sœurs, de la succession utilisant un document expertisé comme faux et calomniant Jebo au passage, lui découvrant un « complice » en la personne de l'autre coordinateur de l'assistanat organisé en famille au cours de l' été 2004!

 

quelques pièces en annexe pour illustrer ce récit ( les noms sont cachés par précaution ) : le contrat d'assistanat appelé « mise en tutelle de la tante" ; sa fiche de souhaits ; la donation voulue par elle et préparée avec le dispositif « donation-sarkozy »; puis la contestation par le mari d'une des nièces; la mise en tutelle judiciaire de la tante ; le passage en gendarmerie pour amorcer une plainte ; jugement peu après, s'appuyant sur des documents douteux ; expertises d'écritures; plainte pour faux et usage de faux; puis plainte pour dénonciation calomnieuse ...)

 

                                       ANNEXES :

 

Ah salopiaud d' André- Jacques du 94 ! c'est à cause de lui que j'ai reçu un « ordre » du jébo : d'avoir, toutes affaires cessantes, à m'occuper de commenter pour les gens du Val d'hemone son affaire d'assistanat en famille pour sa tante ! Ah, je t'en foutrais, moi, de l'assistanat à distance pour une personne âgée de plus de 9O ans qui ne demandait qu'une chose : qu'on lui foute la paix et qu'elle « s'en aille », tranquillement, sans compter sur qui que ce soit !!!

 

eh bien, non, il lui a fallu faire le mariolle par chez nous ! Encore et encore ! Mais on le sait qu'il a quitté la montagne à 10 ans ! Qu' il a fait de brillantes études de Droit en fac à Lyon ! Que la tante « J » était sa grande copine , qui « l'adorait » quand il faisait ses blagues d'étudiant ! Et vous allez voir comment il vient d'en faire encore une , une sacrée belle blague !mais qui aurait pu mal se terminer ! Car, à la barre, alors qu'il pensait que les juges « étaient de son côté » parce qu'il était candidat – en cours d'affectation à Paris --, au Pôle des « juges de proximité » ! tu parles, ils l'ont pris en grippe les juges; à force de la voir , sa trombine ! Y'en a même une, de juge, qui l'a condamné à une amende de 8OO e pour …. tenez-vous bien de ne pas rire !

 

 

 

«  DESINVOLTURE ENVERS LES JUGES » !!!

 

 

ouf, allez, je m'y mets ! Moi, qui avais raconté que je voulais devenir « juré », eh bien nous y voilà ! Il me faut commenter la « promenade de santé », judiciaire, que nous fait notre jébo !

 

 

Le cadre :

 

le fonctionnement des Tutelles !

 

 

Comparaison entre ce qui se passait dans les années 2000 quand Jébo se lança dans cette affaire et la position aujourd'hui après l'arrivée de l'indispensable réforme

 qui était nécessaire ; (lisez si vous avez une minute l'article du Figaro , que je vous mets là :

 

 

 

mais, le jébo, pourquoi diable il a fallu qu'il nous la fasse, cette blague, avec une « donation-type sarkozy »?

 

cherchez pas à comprendre, c'est tout lui, ça ! Regardons et apprécions l'élucubration

 

 

 

et , à ce moment-là,  la « tutelle », ça fonctionnait pas bien ; on mettait en tutelle tout le monde et les juges = surchargés ! Donc Jébo – un bon point opour lui – voulut épargner à la juge du secteur une charge de travail sup ; du coup il choisit de " rester en famille " et il le proposa aux 8 neveux et nièces de la tante, tous résidant sur place  !

 

 

 

aujourd'hui, il serait tout à fait dans la norme !

 

 

 

 

 

aujourd'hui, donc, tout semble clair mais en 2004 quand Jébo se lança à l'aveuglette, ce n'était pas les cas ! Alors, voyons ça de plus près ! D'abord on va mettre en avant les 3 choses qu'il a faites par précaution : avertir le 8 autres neveux et nièces de la tante,

 

de la remise des chèques à ne pas encaisser tout de suite tant que tous n'auraient pas accepté par écrit ! Ensuite, demande par lettre au Cab du ministre pour accord préalable sur le dispositif du ministre Sarkozy ! puis, prépa d'une cérémonie en famille pour la sépulture à venir de la tante ! On regarde :

 

 

 

mais la grosse question ensuite, c'est : pourquoi il a fait ça ! Un « cadeau de fin de vie », en faisant accepter à la tante l' idée d'une remise, aux 8 autres nièces et neveux, de parts de donation exonérées d'impôt avec le dispositif spécial que lançait alors le ministre de l' Economie ! quand je lui ai demandé au jébo, il m'a répondu que c'était de la blague !!! pour « secouer » un peu son monde ! Ouais, pour faire le mariolle, plutôt ! Une fois de plus !

 

 

 

 

 

et les IMPOTS locaux n'avaient pas dit non, puisqu'ils ont donné au jébo les imprimés à remplir par chacun pour se faire exonérer de tout prélèvement ! Sympa, çà, non ? Il fallait les renvoyer, remplis et signés, sous un mois !

 

 

 

 

Il fit alors les 8 chèques avec une sacrée somme pour chaque part : 4722 e chacune ( mais il ne s'en fit pas pour lui, laissant sa part en réserve pour le cas où une depense imprévue surgirait ) Ah, on était loin des petits 2OO e de prévus au départ pour faire « un petit geste »  de la tante à ses chenapans de neveux-nièces , dont elle s'était détachée ( y compris de celui qui faisait ses courses et son petit secrétariat, au nom des 4 nièces « D », vous savez celles qui étaient ses préférées et dont, maintenant, elle s'en foutait parce qu'elle considérait qu'elles l'avaient abandonnée en la mettant dans « une maison de fous » et en la « volant » ( car elles lui résilièrent en douce sa location d'appart , pendant une convalo après un passage à l'hôpital ! Ils lui enlevèrent tout : mobilier, vaisselle, argenterie, bibelots, livres et même de l'argent liquide... qu'ils allèrent cacher dans la maison familiale de l'une d'entre les 4 !!!

 

ah salopiauds de cousines et … cousins, leurs maris !)

 

Et, en fin septembre, il était content, le jébo, car tout fonctionnait bien:

 

° la sépulture à venir : préparée et payée d'avance ! par la tante !

° la prise en charge de la tante à distance depuis Paris : organisée! 

° la tante : heureuse d'avoir retrouvé "son" étudiant , « mon fils, que j'aime tant », disait-elle aux aides-soignantes Allez, je vous montre quelques fiches, car vous n'allez pas me croire devant la découverte de ce qui va arriver :

 

Jébo poursuivi pour « abus sur personne âgée »

 

 

 

d'abord, l' accord de la tante signé par elle d'une écriture fatiguée

 

 

 

mais, aussitôt après la remise des chèques de la donation-partage très spéciale,

 

avec le dispositif de la « donation-type-sarkozy », comme disait Jébo aux uns et aux autres – incrédules !--,

 

donc aussitôt après la première minute de surprise passée,

« attaque » sournoise d'un mari des 4 cousines !

auprès de la juge faisant alors passer le jébo pour un petit voyou ! Aussi sec, elle annule tout et désigne le dénonciateur comme

" administrateur légal" ! et voilà notre jébo lourdé comme un malpropre !

 

 

Et elle n'avait pas le droit de faire ça, la juge, sans appliquer la « procédure spéciale » ( revenez en arrière regarder l'article du Dauphiné ) !!! Mais elle le fit, car le cousin mouchard alla lui chercher un certificat médical ! où ? chez un simple généraliste comme quoi elle avait perdu sa tête ! Et ça passa !!! Mais…

 

4 mois après , boum au petit matin, la tante « s'en va », bien heureuse d'en avoir terminé, sans aucun doute !

 

 

Et alors la Juge, elle va dire quoi ? Oh, simple, elle se goure une fois encore : elle ne peut valider la donation qu'elle a suspendue et remettre en route les chèques distribués ! Elle ne peut rien non plus contre la sépulture décidée par les 4 nièces dites « héritières » et leurs maris, complètement différente de ce que Jébo avait préparé selon la volonté de la tante qui avait tenu à payer seule les frais ! « Il faut passer au tribunal, par voie d'huissier »,  dit alors la juge ! ! Donc voilà le jébo avec ses frangins et frangine qui lancent l'assignation de leurs 4 cousines ! Pour faire quoi ? Oh, simple: retour des cendres de la tante au cimetière de sa commune natale, auprès de sa chère maman, enterrée là ! Mais au tribunal, c'est l'apothéose : le cousin « tuteur » – ouais, le salopiaud de dénonciateur malveillant – est présent dans la salle quand le jébo l'accuse à la barre d'avoir fait des faux ! Il se sauve sans rien dire ! Et le jébo file en gendarmerie le dénoncer à son tour ! Hélas, le tribunal va débouter le jébo et son groupe et ordonner la dispersion des cendres ! sans attendre le résultat de la plainte amorcée ! Pire : le «  proc' » classe la plainte ! Alors le jébo va consulter une « expert grapho » à Paris ! Elle dit que les documents sont douteux mais, pour pouvoir écrire que ce sont des faux , il lui faut voir les originaux ! Tu parles, comment les obtenir ?

 

on se met quelques illustrations pour mieux suivre ...

 

 

voyez, c'est pourtant clair ... et les Impôts locaux, ils donnent les imprimés à Jébo , pourquoi a-t-il fallu que ce cousin aille chez la juge le dénobcer comme s'il était un voyou !

 

et l'autre cousin qui avait aidé Jébo à préparer la donatiopn-partage, lui, il disait quoi ? eh bien, rien du tout ! et voilà comment on se fait avoir ! ce groupe avait tendu une belle embuscade au jébo !
et l'autre cousin qui avait aidé Jébo à préparer la donatiopn-partage, lui, il disait quoi ? eh bien, rien du tout ! et voilà comment on se fait avoir ! ce groupe avait tendu une belle embuscade au jébo !

 

Hé bien, la voilà engagée, la bataille ! Qui va durer jusqu'en 2012, en été , quand un nouveau « proc' » signera à Jébo un droit de visite chez le notaire de la succession où, là , le jébo verra la « tricherie » à l'initiative du cousin si malveillant et de sa chère épouse tout aussi faux jeton que lui !   Allez on voit tout ça , comme qui dirait,« en images » !

 

 

 

 

 

mais, avant la fin du dispositif « donation-type-sarko », Jébo pense à faire un référé ! Alors, là, le juge tombe des nues ! « qu'est-ce que c'est que ce bazar " , a-t-il dû penser et , oualou ! refus : « allez contester chez le notaire ... », lui fait-il dire  ! mais voilà : les frères et soeur du jébo, eux, ils n'en voulurent pas de la contestation de la succession chez le notaire ! Eux, ce qu'ils auraient aimé , c'était  simplement d'avoir un « cadeau » de leur tante ! Point barre !

 

 

 

et, plus tard, jébo écrira au cab du ministre de la fonction publique qui lui aussi ne pourra pas les revalider ces sacrés chèques suspendus !

 

 

 

et même une avocate  locale ne put "dépatouiller" l'affaire ! quant au Cb' de "Berçy" , impuissant aussi !! ! hé bé , quelle affaire ! et pauvre Jébo, mais, comme on dit au théâtre : "qu'allait-il faire dans cette galère...? "

 

 

Arriva alors le jugement – très prématuré – du tribunal, saisi sur le sort des cendres de la tante : il débouta les demandeurs et ordonna la dispersion des cendres au cimetière de la ville ! Dans le coin des sans – famille ! Bref, avec « les pauvres », aurait-elle dit ! Ajoutant même « après les fous, c'est le bouquet ! »

 

 

 

et comment cela a pu se faire ? Tout simple, le cousin vachard a présenté un faux au tibunal!!!

 

 

 

 

 

 

 et malgré l' annonce à la barre par jébo contre le document douteux et son annonce de plainte, la juge n'en tint pas compte ...
et malgré l' annonce à la barre par jébo contre le document douteux et son annonce de plainte, la juge n'en tint pas compte ...
 et les cendres furent dispersées ! hélas !
et les cendres furent dispersées ! hélas !

 

Plainte aussi contre le médecin généraliste pour avoir donné un certificat de mise sous tutelle sans respecter la procédure spéciale !

 

Mais rien n'y fera ! Jébo verra même le Doyen des juges qui lui dira qu'on ne peut se faire communiquer les originaux ! Et que, lui,  faire une expertise des écritures , c'est non ( il n'y a pas de budget ! )  Alors ?

 

Eh bien, Jébo va se les payer, les expertises  2 même pour être tout à fait sûr! Et ça va marcher !

Deux rapports seront établis concluant à des faux ! À condition toutefois de vérifier avec les originaux

 

 

 

 

 

 " il faudrait examiner les originaux pour apprécier plus rigoureusement le trait et la pression..." a écrit cette expert
" il faudrait examiner les originaux pour apprécier plus rigoureusement le trait et la pression..." a écrit cette expert

 

Expert voulant voir les originaux des documents douteux pour conclure valablement   Hélas, refus des « adversaires » de les communiquer ! Et le notaire ? Pareil …

 

donc, classement de la plainte par le Procureur !  saloperie de saloperie ! comment en sortir, de cette impasse devait se demander le jébo! pire il devait " ruminasser" toute la sainte journée !

 

 

l'expert là, de remarquer : " le document est une photocopie, non un original " !
l'expert là, de remarquer : " le document est une photocopie, non un original " !

arriva alors un nouveau Proc' ! qui, lui, prit le jébo en pitié et lui donna un accord écrit, , pour qu'il aille les chercher les originaux ! là où ils dopivent se trouver ! chez le notaire de la succession ! donc voilà Jébo en route à nouveau ...

 

 

 

 

du coup de nouvelles plaintes s'imposèrent ;" faux", " usage de faux", " dénonciation calomnieuse" … il lança tout, Jébo, sans assistance de son avocat de Paris, qui pourtant lui avait demandé 3000 e d'honoraires d'avance ! Roublardise, là encore !

 

Mais le procureur ne put que classer encore car

 

les délais de prescription dépassés !

 

Et du coup l'avocate adverse triomphait :elle va lui en balancer des provocs au jébo qui faillit d'ailleurs y laisser la vie ... mais ça, c'est encore une autre histoire !

 

et alors, n'en pouvant plus , Jébo déposa une plainte contre son cousin si malveillant, relayé par une avocate diabolique ! qui n'arrêtait pas de le provoquer ! "allez vous faire soigner..." lui balança-t-elle un jour chez le Conciliateur de justice  !!! et elle alla même jusqu'à se moquer de lui  montrant au juge une fiche du parquet raturée avec une croix  devant le motif de classement : " état mental déficient" !!! 

 

 

là,  jébo fila aussi sec voir un psy pour vraiment savoir si il était devenu dingue ! 4 àu 5 séances avec le PSY le rassurèrent ... il n'avait rien !

c'était cette draconne d'avocate qui se foutait de lui !

ah la misère-de misère, moi jamais j'aurais supporté tout ça ! j'aurais pris le vieux fusil de chasse du grand-père et fla ! je tirais dans le tas ! 

 

le psy, lui de son côté recommanda à Jébo de ne plus chercher à remonter au pays natal ! « coupez le cordon ombilical ! »  qu'il lui dit, le psy !

 

 

et jébo sombra alors dans un tourment existentiel ! Soigné par son médecin traitant à coups de cachets anti-déprime ! Il n'avait en tête que le montage qu'il avait fait avec comparaison de la délaration pour la dispersion des cendres de la tante et les signtures de ses chèques pour payer sa pension à la maison de retraite,   rien que des faux !!!

et alors ? Eh bien, 2 nouveaux problèmes : soulevé par le cousin si malveillant !

"Pas de poursuite clama-t-il, il y a autorité de la chose jugée" !

Jébo consulta un avocat de Paris qui lui parla de la distinction à faire dès l'instant où une plainte était engagée sur des documents produits en justice :

L'autorité de la chose jugée porte sur le jugement ( son « dispositif ») mais pas sur les motifs !

Voyez :

 

      eh bé , bravo !
eh bé , bravo !

 autre point  soulevé par le parquet, cette fois-ci  :

les plaintes sont à classer car les délais ont été dépassés !

vlan ! jébo, porte-toi bien ! y'a plus rien à voir ni à faire !

mais, là encore,  Jébo a cherché, cherché encore et encore !

et il  a fini par trouver une note ! sur Internet , expliquant que les délais d'infractions peuvent étre reportés quand on a affaire à des infractions en " continu"  :

 

infractions dites « en continu » ! à voir …

 

la note, voici des extraits ! Et si vous avez des lumières sur la question,  merci de nous en faire part ... 

 

jébo revint au pays une dernière fois,

y faire ses " adieux citoyens ", comme il nous dit ! Et j 'ose

 

espérer qu'il s'en sortira de son « tourment existentiel » ( encore une formule à lui , et l'autre zigotot du val de marne qui lui a fait un dessin pour en parler, de ce mal être !!!  

 

et voilà, je vous ai tout dit !

 

La suite , s'il y en a une , eh bien, je reviendrais vous la raconter !

 

 

Allez, bon vent à vous tous ….

 

      Jules du Val d' hermone- 74

 

 

avec un rhododendron de ma montagne pour vous, les visiteurs sympas

 

 

 

et encore des chardons pour le malveillant de notre petit pays

qui a causé tant de soucis

 

à notre jébo ...

 

 

 

des chardons, voilà ce qu'i leur faut à tous ces adversaires de jébo ...

 

 

 TITRE II

 

 

 

  

« la Justice, la Justice  !!! mais il n'y a pas de justice !

 

en France il n'y a plus de justice !!! »

 

 

 

voilà ce que nous entendons, à tout bout de champ, à tout propos ….

 

mais non, ça c'est exagéré ! Vous allez voir , «  la Taubira », elle est costaud comme ministre , elle va nous l'arranger la justice de notre pays

 

 

 

d'abord petit retour en arrière ; je vous remets un texte de lamanetation de notre Jébo

:

 

Jébo le 2 décembre 2013

 

regard du citoyen sur le fonctionnement de notre Justice

 

 

 

° un cas superbe por notre cogitation :

 

je vous ai fait pour cela un « montage » avec des extraits de presse :

 

 

 

NB : elle en a fait du « brassage » cette affaire ! Et les juges successifs qui se trompent ! Comme quoi personne n'est infaillible

 

 

 

° et moi ?

 

Ce qui m'arrive qui n'est pas triste, non plus ! Vous voulez que je vous en parle encore ? Eh bien allons-y, cela va faire causer nos 2 « artistes » : celui des bords de notre Marne au Quartier Floquet du 94 !

 

 

 

 

 

et l'autre ! Le « grand coureur des bois » qui est un braconnier à ses heures perdues ….

 

 

 

 

 

 

 

 

 

mais heureusement qu'il lit beaucoup … surtout des histoires dela 2è guerre mondiale et/ou sur les maquis, ceux de la Hte SAVOIE,surtout, sans oublier ceux du Val d'hermone/Vallée du Brevon …

 

dont le jeune chef , « Jérôme » est « monté aux Glières » le moment venu combattre les Boches et y a trouvé la mort glorieuse en restant en arrière garde pour protéger tous ceus qui , survivant encore se dégageaient du « Plateau » …

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

et moi , vous disais-je ? Mais vous ne savez pas , c'est mon 17è « Noël de merde » que je vais passer à ruminer sur ces 2 connards de JG et de RF

 

 

 

vous savez , poussé par ces titillations diaboliques je vais bien finir pas y sauter par-dessus le parapet du Pont du peti parc ! Mais fort heureusement ma «  mandataire de protection future »  est allé hier en Normandie s'acheter une belle maison normande ! Et elle m'y aménage une chambre au RDC pour que je devienne son jardinier ! Donc, c'est pour le printemps et d'ici là il me faut tenir ! Bon ! Avec du Seroplex le matin et de l' Alprazolam le soir ! Y'a pas à dire, ça me fait du bien ! Ça m'empêche de penser à des conneries comme celle d'acheter une pétoire chez un antiquaire et de refaire le coup du « Vieux fusil » ! ( tiens , qui sait qui a déjà fait ce film que je revois chaque fois qu'il passe à la TéLé ? Ah, « misère de misère », comme disait notre Coluche …

 

( entre nous, vous ne sentez pas que ce texte, ça sent le « Seroplex, parce que d'habitude je n'écris pas comme ça ! Là, ça me libère...

 

et ….

 

au diable …

 

le « Cornu de la marne » !

 

 

 

la tentation quasi permanente ….

 

au large, le Cornu, passe ton chemin !

 

«  le Matamaure de Compostelle » me protège ...

 

( que je suis allé supplier de m'aider, en mai 2007 : je suis parti du Puy-en-Velay et j'ai rejoint en 33 jours Santiago de Compostela! Incroyable, mais vrai ! ( voyez mon texte sur :

 

«  jerome-jl bouvier.over-blog.com  » )

 

là, quelque part en Galice, à l'approche de St-jacques...

 

 

 

 

 

 

Voilà l FINI les pleurs de jébo ! revenons aux choses sérieuses !

 

avec souvent des palabres à n'en plus finir sur sa « REFORME à faire de toute urgence ... » , grommellent certains !

 

 

 

 

Mais, « elle arrive ... », nous dit Mme Taubira la dynamique ministre de la Justice !

ainsi, regardons ensemble le

 

 

« montage » que je vous ai préparé à partir du journal :

 

 

hé bé , Mme la Ministre, il ya du pain sur la planche, semble-t-il ! mais en avant, il suffit déjà d'essayer de faire bouger les lignes ! nous, nous vous "suivrons" avec intérêt et vous soutiendrons moralement ...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  • TITRE III   : " pêle-mêle "

 

maintenant … sur des

          sujets moins sérieux !

 

 

Encore que …. ceux que l'on va aborder, là, ne sont pas des plus joyeux !

 

 -- Soweto

 -- Bangui

 -- l' Algérie

 -- le pape François ( lui, c'est une exception : très joyeux)

 -- la politique fse : les "municipales"

 -- le 6 juin 2014, j'étais au D-Day

 

 

 

° / le 7 décembre 2013 :

 

Nelson Mandela est parti ....

 

le Grand Homme va manquer à l'humanité entière  ; mais de l'au-delà, où il va continuer de nous inspirer, il COMBATTRA encore et encore pour la PAIX sur notre pauvre planète ...

 

et comme indiqué dans notre blog , précédemment, nous, le petit groupe parti un jour de France pour aller visiter SOWETO , voici ce que nous avions alors découvert et ressenti ....       Jébo du 94

 

c' était en mars 1992  !  quel voyage ce fut ....   nous en avions parlé sur notre blog d'alors ; en rappel voici ce que nous en disions  ....

 

 

Nov 09

 

 SOWETO, maintenant :

 

On vient d'avoir à Paris le passage d'une troupe de Soweto: ma femme et moi y sommes allés, bien évidemment et là....ouf ! À nouveau la nostalgie...

que de souvenirs sont   alors remontés en surface :

 

 

 

 

ah la belle soirée ...
ah la belle soirée ...

à revoir tous ces artistes sud-africains; à écouter avec émotion, joie, leurs chants ! et vibrer avec leurs  danses ...

 nous ne pouvions que nous rappeler de nos passages en Afrique du Sud

 

le plus impressionnant d'abord : la visite de Soweto avec un guide bougrement sympa  :

 

 voyez notre montage-souvenir de cette découverte mémorable mais ô combien triste :

 et ce fut une sacrée belle visite avec cet accompagnateur qui nous a beaucoup montré , beaucoup expliqué ...
et ce fut une sacrée belle visite avec cet accompagnateur qui nous a beaucoup montré , beaucoup expliqué ...

mais vous pensez bien que lors de ce premier passage dans ce si beau Pays, nous avons fait une incursion à l'intérieur ! notamment la visite du parc ...

résultat : une envie de revenir

ce que nous n'avons pas manqué de faire ! et après la fin de l'apartheid ! pour voir ... encore et encore !

 

Nous étions allés voir des amis à Johannesbourg; mais, en ce qui me concerne, j'y allais aussi pour voir ce curieux pays, marqué par tant de violence …

Mais il y avait de l'espoir … ça « bougeait » enfin et de beaux jours s'annonçaient !

 

 d'où cette soirée au Chatelet, que nous n'aurions manquée pour rien au monde !

 

Ce fut superbe ! Dans ce bel automne ensoleillé, entendre des chants d' Afrique du Sud, c'est quelque chose ! ( bien sûr, pour ceux qui l'aiment ce pays de souffrances et ...d' espérance !)

 

SPECTACLE ENTHOUSIASMANT ! Des voix extraordinaires; des danses énergiques; des costumes aux couleurs étincelantes; des chanteurs brillants passant de la chorale à la danse – frénétique – puis aux instruments...Pas étonnant que tout d'un coup, aprés un « oh happy day » classique, puis l' « Asimbonanga » pour faire honneur à Nelson Mandela, la « salle » soit debout, tous se mettant à rythmer les chants...

 

Quel bon moment, chaque instant me ramenant ...à Soweto, dans ce « towschip »

 

de si mauvaise réputation pour la grande violence qui s'y est développée...

 

J'y suis allé, poussé par ma curiosité politique, en début 92, le pays étant en pleine effervescence dans l'attente du vote sur la fin de l' « apartheid »...

 

Que d'émotion, teintée de crainte, pendant ces trois heures de visite à travers le towschip ; nous avons été accueillis par plusieurs familles, de niveau social différent;

  

nous avons frappé à la porte de Nelson Mandela, où notre petit groupe fut aimablement renseigné. De l'espoir pour ce pays qui allait enfin sortir de la longue « nuit »...

 

 

extraits de la presse de l'époque :

 voir ci-après

 

 

 

 

 

 

 

et nous sommes retournés  en Afrique du Sud, plus tard quand le vote eut supprimé l'apparheid; nous y avons passé une semaine ! avec une installation à Somerset West , dans un hôtel, marqué

par l'ambiance " Nlle Afrique du Sud ", avec des équipes mixtes "blancs" et "noirs" ! tout bien ! super même !

nous sommes revenus emballés

 

 

et nous avons tellement été marqués par cette grande Afrique du Sud que nous sommes revenus encore une fois dans cette belle contrée de Somerset west ! que de bons moments ....
et nous avons tellement été marqués par cette grande Afrique du Sud que nous sommes revenus encore une fois dans cette belle contrée de Somerset west ! que de bons moments ....

Mais, aujourd'hui, il ne s'agit plus de tourisme !  cette fois-ci, c'est bien autre chose ...

 

avec la mort de ce grand Chef d' Etat qu' a été Nelson Mandela, c'est un énorme événement qu'il nous faudra suivre avec attention, émotion, esprit de solidarité ...

 

 

je vous montre le montage, que je me suis amusé à préparer, en faisant ressortir l'ironie de la situation ! voyez, nous autres , Français, il faut que nous nous distinguions  encore, même dans un moment aussi important pour toute la planète ...

Enormes, qu'ils seront ces adieux au Grand Monsieur  de la planète, au Grand Nelson Mandela, ce 10 décembre 2013 à Soweto  ! mais nous, en France, il faut que l'on se fasse remarquer ... ah, misère-de-misère...
Enormes, qu'ils seront ces adieux au Grand Monsieur de la planète, au Grand Nelson Mandela, ce 10 décembre 2013 à Soweto ! mais nous, en France, il faut que l'on se fasse remarquer ... ah, misère-de-misère...

Ah, là là... comme si nos deux "ténors" de notre Politique ne pouvaient pas voyager ensemble ! dans un même avion ! pour l'économie, certes, mais aussi pour le symbole ! mais qui sait, ils se seraient peut-être battus ... les paris auraient été ouverts et les conversations de bistrot n'auraient pas manqué .... enfin, que voulez-vous, c'est ainsi et on ne nous changera pas nous pauvres Français

 

 

allez, oublions et apptrécions les commentaires de nos brillants journalistes qui auront eu la chance d'assister, eux ! les veinards !

Le Parisien, d'abord avec cet excellent article

 

mais ce qui ne manque pas de saveur c'est de constater comment ils s'en sortents, nos deux canaillous de Président et d'ex-Président  !!!

mais  bien-bien ....

 

 

regardez plutôt encore ces lignes du Parisien, il est plutôt sympa, lui, avec nos représentants....

 ah les deux "sacripans ... pour un peu ils en rigoleraient de la blagounette qu'ils nous ont faite !
ah les deux "sacripans ... pour un peu ils en rigoleraient de la blagounette qu'ils nous ont faite !

 mais revenon au sérieux ! le moment est trop solennel et je ne sais pas comment vous réagissez, vous, de votre côté, mais nous-- le petit groupe de marcheurs dans le Soweto de 92 -- c'est avec une énorme émotion que nous avons vu à la Télé l' E-VE-NE-MENT-PLA- NE-TAI-RE ! et c'est avec passion que nous lisons nos journaux ; tenez je ne peux résister au plaisir de vous faire litre deux extraits scannés dans nos " Gratuits" 

 

° le Direct-Matin d'abord :

 

 

 "tous unis..." mais oui et ensuite il faudra le rester !!!
"tous unis..." mais oui et ensuite il faudra le rester !!!

° et aussi cet autre texte , très bien aussi :

 ah , ce " Metro" , jamais en retard pour l'analyse événementielle ...
ah , ce " Metro" , jamais en retard pour l'analyse événementielle ...

 

      et Maintenant ?   on dit quoi ? on fait quoi ?

mais rien de particulier , on a pris plein de bonnes idées ! mieux , de grandes résolutions et il faut que nous les appliquions dans nos vies de tous les jours ... et

 de là-haut, dans l' AU-DELA, le nouvel arrivant dans le Royaume des Grands Humains , il va nous regarder ....en souriant de nos succés ! en se plaignant de nos "infractions" , avec à ses côtés les autres grands , Martin Luther, Gandhi, qui ne manque aucune occasion pour le lui dire, à Nelson, combien lui, quand il faisait " l' avocat "  au pays de l'apartheid , il s'en était vu ... mais il avait lutté sans se décourager , puis pardonné , lui aussi ... 

 ADDITIF  le 14 décembre :

 

nous aurions aimé que l'ex-président de Klerk , lui, qui a mené  son pays vers les Horizons nouveaux ! lui,qui s'est activé pour la réalisation du référendum sur la fin de l'aparheid ! Il eut été bien qu'il soit davantage mis en avant, pendant cette cérémonie !

 

tenez, un petit rappel sur lui sera bien :

 

le temps de retrouver les deux articles que nous avons sélectionnés

 

voici les titres

° dans Le Figaro du 17 mars 92 intitulé : " les Blancs votent la fin de l'apartheid ; raz de marée du oui aux réformes "

 

° et sur le journal Le Monde, nous lisions le 25 mars 92 :

  " le gouvernement a présenté son projet de structures de transition" !

 

donc , sous la présidence de Klerk , ça ne trainait pas ...

 

                _____     ______     _____

 

 

Le 4 janvier 2014

 

 

allez, encore un petit effort ( on va se taper les galettes des Rois , une dernière coupe de champ' ou de mousseux … ) et ouf !!! en route sur le Chemin de l'année nouvelle !

 

Tous , avec des résolutions plein notre sac ! Bon vent à toutes et à tous

 

André-Jacques, «  L' Ajac du quartier Floquet-bords de Marne »

 

                  --      --       --

 

   les fêtes sont passées ! "bien" pour beaucoup, "folles " pour certains, "calmes"  pour d'autres ....

eh bien, maintenant il nous faut reprendre le chemin ...

alors, L'Ajac, au boulot ! 

                                                     bon courage à tous ,  jébo du 94

 

André-Jacques ( L'Ajac ) :  oui, oui, je m'y remets aussi sec ! et vous allez voir, ça va dégager ! tout au long de cette année qui s'annonce belle, chargée, rude, divertissante avec de grands combats ( "politiciens", bien entendu !!!) , des succès, des joies, etc ...

 

mais, là, pour aujourd'hui achevons notre cogitation de fin 2013 sur les grands événements que nous avions sélectionnés pour réflechir avec vous,  de passage ou fidèles visiteurs ...

 

 

 

° sur la République Centrafricaine,

 

c'est la violence qui envahit le pays ! Et déjà 2 soldats français tués dans une embuscade !

 

 

 

° l' Algérie,

 

les Dirigeants algériens qui réagissent mal aux « sorties » de notre président, il est vrai teintées d'un humour bien difficile à comprendre

 

( ah si on savait mettre un fond sonore – notre apprentissage au Pôle multimédia de Joinville est loin d' être achevé – , donc on ferait chanter la chanson «  L'algérie » du grand Serge Lama )

 

 

 

 

et les « anciens d' AFN » de repartir dans leur souvenir de cette malheureuse « guerre » que tant d'appelés du « contingent » firent à contre coeur ; à Vailly par exemple, où Jébo a créé une section « d'anciens » pour la Commune , en leur offrant un beau drapeau tout neuf ( rappel : il était alors maire de cette commune )

 

 

° et encore Mandela, l'inoubliable

et

 

 

et

aussi le ....

 

 ° / Pape François

 

– ah celui-ci, il démarre fort ! Ce n'est pas comme notre  Pt de la République ,

« qui n'en ferait pas une bonne » , selon ses observateurs critiques et/ou humoristes …

 

 

Et maintenant, retour chez nous, « dans l'hexagone » comme disent les journalistes :

 

dès maintenant , regards sur la  Politique

 jamais « absente »il faut bien le soulignern et là avec les

 

° « municipales »

 

ça va recommencer sur le terrain à ferrailler fort

 

 

 et maintenant ?

 RDV au printemps prochain : car ça va

 

        barder !!!

 la « bande à la Marine »,

elle va nous en chauffer des salles, le soir de l'élection …. et c'est tant mieux , ça fera des heureux !

 

   à suivre encore   dans "Dialogues
                                         L'Ajac

 

 

 

 

° Le 6 juin 2014 : j'étais au D-day ...

 

ou plutôt nous y étions plusieurs ( notre groupe -- parisiens et hts savoyards -- , récemment installé à Broglie )

 

nous participions à la grande journée de reconnaissance, pour le 70 è anniversaire du « Débarquement du 6 juin44 »…

 

nous allons vous en parler ... dans quelques jours , quand tout sera fini !

                         

vous voyez ces 3 noms : eh bien ils sont entrés dans l'histoire car ce furent 3 batailles, abominables, sanglantes , où périrent de très nombreux jeunes soldats, Américains et Alliés, venus attaquer les troupes allemandes afin de nous délivrer du joug  de l'  "hitlérisme" ...

 

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la grosse « blagounette »  du 25 août

qui a viré à une brutale crise politique !

 

Qu'est-ce que les Français ont bien pu en penser ? Pour le savoir, on a eu des sondages assez vite, ceux par exemple publiés par le journal « Aujourd'hui en France » ; tenez, nous nous sommes fait un petit montage ave des extraits ! Afin de s'en souvenir de ces 48 heures de « folie », politique,  cela va de soi! Car, dans leur majorité,  nos compatriotes, sont  à cent lieues de la «  politique », en ce mois d'août de recherche du soleil, bien absent, trop même !

 

Et notre équipe de cogitation, elle en pense quoi, vraiment ? Oh, les avis sont assez partagés !

 Mais au fond si l'on veut s'en tenir à des  choses simples , on concluera  sur ces quelques remarques

 

1)                 le Pt est élu pour 5 ans sur une politique ! On peut brailler, en « bonnets rouges » ou autres, ça ne sert à rien ! Il faut attendre la prochaine « présidentielle » , en 2017 pour le «  virer »!

2)                 il a un chef de gouvernement et des ministres ! Là, puisqu'il faut réduire les dépenses publi-ques , on peut crier à la cantonade : en faut-il un de « CHEF de gouvernement » ? Barack Obama, il n'en a pas et il s'en sort très bien ! Et les ministres , en faut-il autant ? Barack, il en a combien, une dizaine peut-être et ça marche !nous, 16 ministres et … 15 « sous-ministres !

3)                 Les réformes pour faire des économies! Mais supprimons les départements ? On vient de décider qu'il n'y aurait plus que 14 régions! Mais c'est encore trop ! Pour l'élection euro-péenne il n'y en eut que 8;  aujourd'hui, elles ont leurs députés pour le Parlement européen ! Et ça marche...

4)                 et les 36 000 communes, n'en faudrait-il pas supprimer la moitié ? En regrouper au maxi-mum , par secteurs ou petits pays/ par vallée ! aujourd'hui avec l'ordinateur on communique plus facilement ! les « curé de paroisses » ont vu leur effectif se réduire énormément , mais ça marche ! Les fidèles ont moins à payer …

5)                 et les sénateurs ! Vous les regardez de temps en temps comme ils savent bien « dormir » !

Mais à quoi servent-ils encore  ? « mon Général » ( De Gaulle), en 69 vous vouliez les supprimer; et votre référendum proposé aux Français n'a pas été accepté! Vous êtes partis aussi sec ! Aujourd'hui, revenez-nous pour nous contraindre à l'abandonner, cette institution avec  ces élus dont le pays n'a plus besoin ! Et qui nous coûtent bien trop chers ! »

6)                 Et l' ECONOMIE ? Là, c'est plus corsé encore ! Il y a des affrontements entre

° ceux qui soutiennent une politique d'aide aux employeurs pour accroitre l'emploi

° ceux qui choisissent plutôt de soutenir la consommation, en réduisant les impôts et an augmentant les aides aux consommateurs , afin qu'ils consomment ! Ce qui relancera l'économie, selon eux …

  pour lancer la « mécanique », il y a ceux qui, en patriotes, veulent sortir de L'Europe qui nous « asservit » ! Il y a « la Droite » qui veut un régime libéral ! Il y a en face «  la Gauche », où l'on aimerait que « les riches » paient davantage pour aider les « revenus modestes » et ceux qui sont dans le besoin ! Et enfin, il reste un groupe : social-libéral, pro-environnement, pro-Européen ! C'est celui-là qui est au pouvoir ! Mais pour y arriver, il a induit en  incompréhension, voire en erreur, une majorité d'électeurs ! Résultat : beaucoup n'en veulentt plus, qui s'estiment avoir été trompés ou qui n'ont pas écouté les discours et ... encore moins lu les « programmes »  !

 

Mais que faire, alors  ?

RIEN , laisser le Présient « présider » et le Gouvernement « gouverner » ! au terme du mandat, ceux qui ne seront pas satisfaits voteront le CHANGEMENT !!! car,

dans l'immédiat , une dissolution de l'Assemblée nationale ( et, pendant ce temps, les sénateurs con-tinueront de  « dormir » ...en  touchant  leur paye !), c'est inutile et coûteux ; de plus,  si «  la Droi-te » revient, avec un  « Juppé » ou un  « Fillion » comme Premier ministre, eh bien re-belotte , on se retrouve en « cohabitation » et le Pt « bloquera » tout ce qui ne correspond pas au programme qu'il a fait adopter lors de son élection; car c'est lui « le chef » et impossible de le virer comme l' Arnaud de la Sâone-et-Loire ! Il faudra attendre 2017 ! et combien de manifs en perspective ?

 

Ouf !!!

Soleil, reviens-nous, nous réchauffer un peu, car on n'en peut plus de cet « été pourri » !et regarde les conneries que le mauvais temps fait commettre …

 

Stop à la divagation, et place à la cogitation, en lisant attentivement ce montage d'extraits du journal « Aujourd'hui, en France » ,  avec  le compte rendu sur le sondage réalisé aussitôt l'affaire engagée ; c'est instructif !

Et , aussi, mettez bien de côté, pour vous souvenir, la liste de tous ces ministres et secrétaires d'Etat !

Nous, on vous laissent :

ceux qui voudraient envoyer des chardons au Pt, eh bien qu'ils le fassent !

 

Tenez, on vous en montre ...

 


Nous, ce sera avec des fleurs , que nous lui adressons une invitation à aller de l'avant et de le terminer au mieux, ce mandat !

 

 

Et que viennent au plus vite de bonnes vendanges et …

un excellent «  Beaujolais nouveau » et tout ira mieux ! Et, en attendant, mangeons des … POMMES, comme nous y invitait notre «  Jacquot » -- Chirac -- , il y a déjà quelque temps! C'est fou comme le temps passe vite …

                                  la bande : Jébo ,  Léon du 27,  Jules du 74,   André-jacques du 94 et nos 2 muses : Marylou-la-voyageuse et Josy-la-morvandelle

 

Bonne fin d'été à tous … et remettons-nous au travail, avec courage, dynamisme et … espoir !

                                               léon de broglie

 

 

                                        °°°°°°°°°°°°°°°°°°

 

Le 8 septembre : la «  politique »,  quel choc !

Alors que les vendanges ne sont pas encore amorcées ! et voilà que l’on nous fait vivre un moment de grand « folklore politicien » ! et c’est toujours après notre Pt que l’on « ferraille » ….

 

Mais, cette fois c’est du « lourd » ! un autre que lui, aurait lâché, nous dit-on !  mais il serait moins fragile qu’il n’en a l’air !

le mieux pour mémoriser, c’est de visionner ce montage que je vous ai préparé avec des extraits du journal :

 

 

 attendons la suite mais en espérant que tout va se calmer ...
attendons la suite mais en espérant que tout va se calmer ...

et qu'en pense-t-on chez jules, en val d' Hermone ? 

Jules : oh, tu sais pas grand chose! par ici, ce n'est pas "les socialistes" que les gens aimeraient au pouvoir ! pourquoi pas F. Bayrou et les centristes ? ils feraient certainement mieux ! mais,  on va peut-être voir arriver Marine Le Pen ; ce serait marrant de l'avoir comme Premier ministre ! mais , m...s'il nous refait encore des élections ! déjà qu'on a pas trop de sous dans les caisses publiques !

 

et chez André-jacques en Val de marne?

l'Ajac : dans notre quartier Floquet, côté Champigny, ce serait plutôt l'attentisme car le gouvernement faisant une "politique de droite" on en attend pas grand chose! côté Joinville, là pas de problème : plus vite la dissolution interviendra mieux ce sera ! 

 

Quant à notre Léon, dans sa Normandie d'adoption ( puisqu'il semble bien avoir abadonné le quartier Floquet, pour de bon !) , pas la peine de le sortir de ses ballades touristiques, avec en plus ses cogitations multiples sur les cérémonies patriotiques qui alimentent l'actualité de la nouvelle région réunifiée !

 

alors, donc, cette fois-ci on les attend ces sacrées vendanges ? 

 

 

 

 

 

Le 25 sept . :  AU  SECOURS , « MATAMAURE »

Les « jihadistes » arrivent enOccident  ---» au secours, St Jacques-de-Compostelle,

Vous, qui, jadis, avez  revêtu votre armure de

«  MATAMAURE », pour aider les princes chrétiens à se défendre contre les envahisseurs ….

Vous, qui, à une «  messe des Pèlerins », dans votre cathédrale de Santiago, un certain 2 juin 2007, avez terrassé « le MALIN » qui « poursuivait » Jébo...

 

aujourd’hui, revenez pour « stopper » ces «  coupeurs de tête » d’ innocents …

                       

      Un ancien du « Chemin de Compostelle »

 



                                        suite de nos textes sur le B, ci-après